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Une tournée d’AFRINIC pour rassurer et se projeter
AFRINIC renouvelle sa confiance à Africa Smart
Après avoir confié à Africa Smart l’organisation de sa participation au Salon de la Presse Numérique de Côte d’Ivoire, Afrinic renouvelle sa confiance en confiant au Cabinet l’organisation de sa tournée des membres.
Cette tournée s’inscrit dans un contexte international de pandémie à Covid-19, avec des perspectives incertaines, ayant cependant permis à Afrinic de démontrer de sa forte capacité de résilience et d’innovation, pour maintenir ses engagements et services auprès de ses membres en servant plus de 1 900 organisations sur le Continent, contribuant ainsi à connecter plus de 400 millions de nos concitoyens à Internet.
"Un Internet sécurisé et accessible pour une croissance numérique durable en Afrique"
Un continent
Un registre
Un Internet
L’histoire d’Afrinic démarre en 1997, avec pour ambition d’adapter les politiques d’allocation des ressources Internet aux réalités de l’Afrique.
En 2000, la création de l’AfNOG (le groupe des opérateurs de réseaux africains) et l’intégration des premiers observateurs d’AFRINIC à l’Address Supporting Organization Address Council (ASO AC) puis la nomination du premier conseil d’administration présidé par le Dr Nii Quaynor en 2001 viennent parachever le projet qui se concrétisera en 2005 par l’accréditation en tant que cinquième registre Internet régional de l’ICANN.
Afrinic est basé à Maurice avec des opérations réparties sur le Continent : Afrique du Sud, Egypte, et Ghana.
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Organisé par Africa Smart Africa Smart, la mission de Afrinic s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement de l’Internet en Afrique.
Une délégation d’Afrinic, conduite par son Directeur Général, Eddy Kayihura,
rencontrera, du 14 au 18 mars 2022, les autorités et membres de la communauté en Côte d’Ivoire et présentera ses actualités, activités et initiatives à l’endroit de la communauté nationale et, plus particulièrement, les enjeux liés à la sécurisation et la disponibilité des adresses IP.
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Africa Smart, partenaire stratégique de la Journée Nationale de la Femme des Médias et dans les Médias
Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI
La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP), se tiendra le 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.
La JNFM 2022 est placée sous la Co-présidence de la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et du Ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie.
Marraine de la 1ère édition: Madame Françoise REMARCK, Présidente du Conseil d’Administration de Canal + Côte d’Ivoire et de A+Ivoire.
Conférencière principale : Madame Anne LEMAISTRE, Cheffe du Bureau UNESCO – Abidjan.
Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :
- Réflexion stratégique sur les thèmes ;
- Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
- Définition de la stratégie de communication ;
- Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
- Conseil pour la mobilisation de ressources ;
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ».
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Pourquoi agir ?
La JNFM22 se veut un espace d’échanges et de réflexion sur cette réalité, souvent occultée : la faible représentativité des femmes dans l’espace médiatique en général, et ivoirien en particulier.
Les femmes comptent à peine pour 20% des 959 professionnels référencés par la Commission paritaire d’attribution de la carte de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP) en 2022 ; elles souffrent aussi d’une faible représentation aux postes de décisions dans les rédactions et institutions médiatiques. Ce qui ne leur permet pas d’impacter significativement la qualité et la quantité des informations consacrées au genre.
Il y a un réel décalage entre la place et l’image des femmes dans les médias et leur poids démographique et politique (pour la présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire, les femmes représentaient 52% de l’électorat). Les médias seraient-ils sexistes parce que la réalité l’est ? Si oui, les médias doivent-ils se contenter d’être le reflet de la société ?
Les médias participent de la construction d’images et de symboles renforçant la division du monde dans lequel ils évoluent. Or, nous constatons que l’image de la masculinité est associée à la politique, à l’économie, à la diplomatie, au sport… ; tandis que les femmes, quand elles sont visibles, ne sont ni porteuses d’une parole d’autorité, ni valorisée comme source d’informations crédibles.
Le rôle des médias dans la formation de l’opinion publique démocratique montre qu’ils peuvent et doivent participer à la réduction des inégalités liées aux stéréotypes basées sur le genre. Ils doivent amplifier le pluralisme dans la sphère publique en donnant, de manière équitable, la parole aux femmes et aux hommes.
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre », c’est pour cela que nous parlons d’un « Nouvel Ordre Médiatique ».
Les professionnels des médias doivent accepter leur responsabilité collective en tant que « quatrième pouvoir », participer à (re)mettre en question les conventions et les codes sociaux qui semblent aller de soi et participer à les réécrire.
Et comme le rappelle Joke Hermes (chercheure spécialisée dans le domaine des médias et de la culture populaire) : « la lutte contre les stéréotypes de genre n’est pas une simple question (d’un petit groupe) de femmes. Elle s’inscrit dans une problématique beaucoup plus large et est au cœur de la réalisation de la démocratie, par le biais de l’information et du débat public ».
A Grand-Lahou, Africa Smart célèbre les 60 ans de l’Agence Ivoirienne de Presse
Africa Smart aux côtés de l'AIP pour l'organisation de son soixantenaire éclaté
Après Aboisso le 25 octobre 2021, c’est dans la ville de Grand Lahou que s’est déroulé, le 4 décembre 2021, la célébration éclatée du 60eme anniversaire de l’Agence ivoirienne de presse (AIP).
“Cette célébration éclatée vise à nous rapprocher davantage des populations en province vu que le domaine de prédilection de l’AIP, c’est l’information de proximité. Nous voulons que les usagers s’imprègnent de notre fonctionnement et échangent avec nous sur tout ce qu’ils veulent savoir sur notre établissement”, explique la directrice centrale de l’AIP, Oumou Barry-Sana.
Le 2 juin 2021, l’Agence Ivoirienne de Presse célébrait ses 60 ans d’existence en son siège d’Abidjan – Plateau.
Les festivités, qui ont réunis plus de 300 personnes, ont été marquées par des panels de haut niveau sur “Les agences de presse à l’ère des nouveaux outils de communication et des infox”.
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Le FSDP invite la CEDEAO à se pencher sur l’aide publique aux médias
Africa Smart accompagne le FSDP dans l'organisation de son premier colloque international consacré à l'aide publique aux médias
Les Médias sont essentiels pour le fonctionnement des démocraties ; L’information permet au citoyen forger sa conscience et ses opinions, notamment au regard de la conduite des politiques publiques. Le pluralisme de l’information est une réalité dans la plupart des pays francophones et l’essor de la Télévision Numérique Terrestre vient renforcer cette dynamique. Pour autant, le secteur connait d’importantes difficultés depuis une dizaine d’années, obligeant les autorités publiques à créer des cadres institutionnels d’encadrement, de régulation et d’aide publique aux entreprises de médias.
Malgré les efforts des gouvernements, le secteur reste structurellement déficitaire.
Par ailleurs, les mécanismes internationaux d’aides aux médias demeurent, pour la plupart, inconnus des potentiels bénéficiaires.
Confiance renouvelée :
Après avoir fait confiance à Africa Smart pour conduire les réflexions relatives aux Indicateurs de Développement des Médias en Côte d’Ivoire, le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse réitère son engagement avec Africa Smart pour piloter, aux côtés de la Direction Exécutive, le bon accomplissement de son projet.
Le FSDP initie un colloque, sur le thème « Quelles stratégies d’appui durable au développement des médias dans l’espace CEDEAO ? » pour créer une synergie de réflexions et d’actions sur l’avenir des médias dans notre espace commun.
L’ambition est de mettre en place un réseau sous régional des organes en charge de l’aide publique aux médias.
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- Comité du colloque : 6 membres institutionnels et OPM – Donne les orientations générales
- Comité Scientifique : 9 membres – Edite les actes du colloque
- Comité d’organisation : 15 membres – Organise le colloque
- Dates : 29 – 30 Novembre 2021
- Lieu : Abidjan
- Langues : français, anglais, portugais
- Participants : >150 personnes dont 48 de l’espace CEDEAO
- 1 Conférence inaugurale et 3 panels suivis d’échanges :
- Viabilité économique des médias dans un environnement en perpétuelle mutation
- Partage d’expérience sur les modes de gestion de l’APM
- Réflexions sur les modes d’accès aux financements internationaux des médias
Disponible sur le site Web de l’Evénement
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Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique
La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021
La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».
Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.
Pourquoi être souverain ?
L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.
Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.
Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.
Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique
Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté.
Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud.
Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.
Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique.
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Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.
Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :
- Cloud & Sécurité du Cyberespace
- Données numériques
- Réglementation & souveraineté numérique
- Industrie logicielle Open Source
- Tiers lieux & Innovation Ouverte
- gTLD et ccTLD
- Open Data, Open Innovation, Open Content, …
- Innovation, technologies de ruptures & Fintech
- …
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Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021
Africa Smart au Comité scientifique de AOIS
L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.
Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.
Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.
Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.
Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats.
La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.
- Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
- Sur quels leviers agir pour la bâtir ?
Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »
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Pourquoi les standards ouverts ?
Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.
Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique.
Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.
Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique.
Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.
Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.
Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :
- Cloud & Sécurité du Cyberespace
- Données numériques
- Réglementation & souveraineté numérique
- Industrie logicielle Open Source
- Tiers lieux & Innovation Ouverte
- gTLD et ccTLD
- Open Data, Open Innovation, Open Content, …
- Innovation, technologies de ruptures & Fintech
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Africa Smart , Afrique , analyse , Big Data , Bobo-Dioulasso , Burkina-Faso , Business , communication , communication institutionnelle , Confiance numérique , Côte d'Ivoire , COVID , Développement , Développement économique , données massives , egouv , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Formation , Gouvernance , Gouvernance Internet , hub technologique , image , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , internet , IPv6 , IT , linux , logiciel libre , Marketing , NTIC , Numérique , open source , OPENSOURCE , Organisation , Planification , presse numérique , prospective , REL , Ressources educatives libres , scribus , Sécurité , Souveraineté numérique , Start-Up , stratégie , Système d'Information , Technologies , travail collaboratif , Veille , Web
Africa Smart, partenaire du Salon du Numérique au Burkina Faso
Africa Smart vous donne rendez-vous à Bobo-Dioulasso
La pandémie à covid-19 aura-t-elle définitivement transformé nos habitudes ? Le monde du travail aura t-il définitivement adopté la posture distancielle, digitalisée et dématérialisée ? Sur le continent africain, et spécifiquement en Afrique de l’Ouest, les organisations sont elles réellement préparées ?
L’entreprise qui a su s’adapter aura forcément abordé les principes de transformation digitale dans l’ensemble de ces processus métier.
- Quel bilan pouvons nous tirer depuis le début de la crise ?
- Quelles évolutions des actions de transformation digitale dans les usages au sein de nos sociétés ?
- A l’heure du Big Data, quelles sont les adaptations marketing adoptées par les entreprises ?
Africa Smart est invitée à prendre part aux panels de haut niveau pendant lesquels des experts internationaux et locaux viendront débattre sur ce thème de la dix-septième édition de la Semaine du Numérique.
Cette édition 2021 vise à développer les interactions entre les acteurs de l’écosystème autour de la problématique de la transformation digitale à l’ère Post COVID 19.
Placée sous le haut patronage de son Excellence Monsieur le Premier Ministre, Chef du gouvernement du Burkina Faso, cette manifestation annuelle offre l’opportunité aux acteurs de l’écosystème du numérique de présenter leurs produits et services tout en créant un cadre d’échanges et de discussions autour des spécialistes du numérique et des partenaires au développement.
L’édition 2021 sera naturellement hybride, en ligne et / ou en présentiel sur le site de la maison de la culture de Bobo Dioulasso.
Les informations et documents utiles sont accessibles sur www.semainedunumérique.bf
Pour rappel des dates clés :
- La cérémonie d’ouverture : 09 Novembre 2021 9 heures 00 UTC;
- L’ensemble des sessions (Conférences, Foire, Salons, Soirées, B2B, etc..) Du 09 au 13 Novembre 2021 selon le programme disponible sur www.semainedunumerique.bf
- La cérémonie de clôture : 13 Novembre 2021 à 16 heures UTC.
Agenda @Africa Smart
Mercredi 10 Novembre 2021, 11h – 12h45 : Enjeux et défis de la transformation digitale.
Jeudi 11 Novembre 2021, 11h00 – 12h30 : Séance Démo de Startup dont les produits sont basés sur l’Open Source.
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L’AIP inaugure son nouveau bureau régional à Aboisso avec Africa Smart
L'AIP renouvelle sa confiance à Africa Smart pour l'organisation de son Soixantenaire éclaté à Aboisso et Grand-Lahou
Le 2 juin 2021, l’Agence Ivoirienne de Presse célébrait ses 60 ans d’existence en son siège d’Abidjan – Plateau.
Les festivités, qui ont réunis plus de 300 personnes, ont été marquées par des panels de haut niveau sur “Les agences de presse à l’ère des nouveaux outils de communication et des infox”.
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Forte du succès de l’édition des 02 et 03 juin, l’AIP a renouvelé sa confiance à Africa Smart pour organiser la première édition éclatée et coordonner les équipes, composées d’une quarantaine de collaborateurs de la structure.
A Aboisso, le nouveau bureau régional sera inauguré le 25 octobre 2021. La célébration sera également marquée par la décoration d’agents méritants de l’Agence.
L’accompagnement est continu auprès de la Direction et s’inscrit dans la volonté de l’AIP d’orienter sa démarche stratégique en adoptant de nouveaux outils de gestion et de communication.
Toutes les infos du soixantenaire
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Le Big Data au sein du plan stratégique de l’ARTI
Africa Smart accompagne l'ARTI dans ses process Big Data
Pour améliorer la mobilité en Côte d’Ivoire, l’Etat se doit de comprendre l’ensemble de son écosystème. L’analyse de données aide à optimiser le transport intérieur.
Créer un environnement urbain agréable et sûr est la préoccupation de nombreuses villes dans le monde. En matière de mobilité, cette problématique soulève de nombreux défis.
Pour façonner la mobilité et le transport intérieur, l’Etat ivoirien a créé l’Autorité de Régulation du Transport Intérieur avec pour mission, entre autres, de concourir à l’amélioration du secteur du transport routier, ferroviaire et fluvio-lagunaire en Côte d’Ivoire.
Ainsi, mettant en œuvre son plan d’action stratégique 2021 – 2025, l’ARTI décline les la sa programmation autour de piliers institutionnels, opérationnels et organisationnel.
Pour mémoire, les missions de l’ARTI sont notamment :
- de conseiller l’Etat, ses démembrements et tous les intervenants dans le secteur du Transport intérieur ;
- de formuler des avis au Ministre chargé du Transport pour la définition et l’amélioration des politiques en vue des actions de réforme du secteur des transports intérieurs ;
- de collecter, traiter, analyser et consolider toutes les données en matière de transport intérieur ou pouvant être utilisées en matière de transport intérieur ;
L’ARTI doit donc comprendre l’ensemble de l’écosystème de mobilité en analysant et visualisant toutes les données de mobilité pour évaluer les infrastructures existantes et d’examiner des scénarios de simulation :
- Quelle demande de transport selon les moments de la journée ?
- Quelle capacité du système de transport public ?
- Décongestion et régulation des embouteillages ?
- Nouveaux modes de mobilité et réseau de transport existant ?
- Comment déterminer le potentiel d’optimisation de l’infrastructure ?
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Conception @Africa Smart
- Définition du poste en collaboration avec le donneur d’ordre
- Définition des grandes missions
- Positionnement du poste dans la structure
- Spécificités et enjeux
- Elaboration du profil du candidat
- Savoirs
- Savoir-faire
- Savoir être
- Identification et sélection des candidats
- Entretiens
- Présentation
Profil recherché
- Ingénieur(e) Big Data
- Chargé(é) de la recherche, de la collecte, de la centralisation et de la diffusion des informations relatives au secteur du transport.
- Bac+5 dans le domaine du Big Data, de préférence auprès d’une école d’ingénierie informatique
- Expérience dans le domaine du transport
- Programme d’intégration sur 4 mois
- Rencontres régulières avec la chaine de responsabilité