La CNF organise ses premières JPO avec Africa Smart

Africa Smart accompagne la Commission Nationale de la Francophonie dans la mise en oeuvre de ses premières Journées Portes Ouvertes

Les Journées Portes Ouvertes de la Commission Nationale de la Francophonie (CNF) se sont déroulées les 04 et 05 décembre 2023.

Sous la direction éclairée de Madame Bernise N’guessan, Secrétaire Générale de l’Organisation, la CNF s’engage fermement dans deux missions cruciales :
📌 Coordonner activement la participation de la Côte d’Ivoire à toutes les instances de la Francophonie.
📌 Assurer une représentation exemplaire de la Côte d’Ivoire au sein des Institutions francophones.

La vision de la CNF s’articule autour du renforcement de la proximité avec les populations, positionnant la Francophonie comme une #opportunité significative pour tous.

Cette orientation met en lumière son engagement pour le développement et le bien-être des citoyens.


Madame Françoise Remarck, Ministre de la Culture et de la Francophonie a exprimé sa profonde gratitude pour le travail remarquable accompli par la Commission nationale de la Francophonie.

Lors de la conférence ministérielle de la Francophonie à Yaoundé, le leadership et l’action du chef de l’État ont été salués et reconnus, renforçant ainsi la position de la Côte d’Ivoire sur la scène internationale.

La #Francophonie, portée par des partenariats mondialement reconnus tels que l’Université Senghor et l’AUF, s’inscrit dans le tissu culturel et éducatif.

Le 10e anniversaire du Campus Senghor est célébré avec dévouement, soulignant l’ engagement de la CNF pour la formation de cadres axée sur le développement.

Madame la Ministre a chaleureusement félicité toute l’équipe de la CNF pour son engagement et encouragé la jeunesse à se rallier à cette Commission.

Elle les a incité à exprimer leurs besoins en #formation, permettant ainsi au gouvernement de les accompagner dans leur quête d’employabilité.

La Côte d’Ivoire, résolument tournée vers les nouvelles #technologies, intègre des stratégies numériques pour apporter une valeur ajoutée au secteur des arts et de la culture, positionnant ainsi ce secteur comme une force motrice pour l’avenir, offrant à la jeunesse l’opportunité de révéler ses talents innés et de contribuer au rayonnement de notre nation.

#VeillerAnticiperProteger
#africasmart#anneedelajeunesse

#francophonie

Conception @Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Documenter

Africa Smart accompagne Ylancia Conseil dans l’étude TechEmerge Health West Africa

Africa Smart pilote les volets General Overview et Healthcare Technology landscape du TechEmerge Research Côte d'Ivoire et Sénégal

TechEmerge est un programme primé de la Société financière internationale (IFC) qui accélère l’adoption de l’innovation en mettant en relation des innovateurs du monde entier avec des entreprises et des organisations de premier plan sur les marchés émergents pour piloter des technologies et des services et des technologies révolutionnaires.

Ylancia Conseil, société de conseil pour le développement des entreprises de santé en Afrique subsaharienne, a confié à Africa Smart la rédaction des volets principaux de l’étude TechErmerge Health pour la Côte d’Ivoire et le Sénégal.

Il s’est spécifiquement agi de :

  1. Collecter et traiter les informations relatives aux deux pays, dans leurs dimensions sociales, économiques et technologiques ;
  2. Qualifier le paysage ivoiriens et sénégalais de la santé numérique ;
  3. Identifier des partenaires potentiels au programme TechEmerge West Africa sur les deux pays cible.
Le FSDP invite la CEDEAO à se pencher sur l’aide publique aux médias

Africa Smart accompagne le FSDP dans l'organisation de son premier colloque international consacré à l'aide publique aux médias

Les Médias sont essentiels pour le fonctionnement des démocraties ; L’information permet au citoyen forger sa conscience et ses opinions, notamment au regard de la conduite des politiques publiques. Le pluralisme de l’information est une réalité dans la plupart des pays francophones et l’essor de la Télévision Numérique Terrestre vient renforcer cette dynamique. Pour autant, le secteur connait d’importantes difficultés depuis une dizaine d’années, obligeant les autorités publiques à créer des cadres institutionnels d’encadrement, de régulation et d’aide publique aux entreprises de médias. 

Malgré les efforts des gouvernements, le secteur reste structurellement déficitaire.

Par ailleurs, les mécanismes internationaux d’aides aux médias demeurent, pour la plupart, inconnus des potentiels bénéficiaires.

Confiance renouvelée

Après avoir fait confiance à Africa Smart pour conduire les réflexions relatives aux Indicateurs de Développement des Médias en Côte d’Ivoire, le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse réitère son engagement avec Africa Smart pour piloter, aux côtés de la Direction Exécutive, le bon accomplissement de son projet.

Le FSDP initie un colloque, sur le thème « Quelles stratégies d’appui durable au développement des médias dans l’espace CEDEAO ? » pour créer une synergie de réflexions et d’actions sur l’avenir des médias dans notre espace commun.

L’ambition est de mettre en place un réseau sous régional des organes en charge de l’aide publique aux médias.

 

Conception @Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Documenter

Toutes les infos du Colloque

[wp-rss-aggregator sources="39552"]
Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Aller au contenu principal