Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les médias (JNFM)
Africa Smart apporte son expertise
Africa Smart accompagne le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) dans l’organisation de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les médias (JNFM).
L’édition 2023 de la JNFM, comme celle de 2022, bénéficie de l’expertise de Africa Smart.
Le thème retenu pour l’édition 2023 est : « l’image de la femme dans la culture urbaine ».
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ».
C’est aussi l’occasion pour Africa Smart d’apporter sa contribution à la journée d’action, de sensibilisation et de mobilisation dédiée à la lutte pour les droits des femmes, l’égalité et la justice à la faveur de la Journée internationale des femmes, célébrée tous les ans à la date du 8 mars.
Conception @AfricaSmart
Processer
Collaborer
Organiser
Intermédier
Africa Smart, dans sa démarche, mettra en place les instruments de suivi-évaluation de cette activité et participera à la compréhension collective du rôle productif dans tous les domaines de la vie, de la femme qui incarne, il faut le souligner les valeurs qui fondent et fécondent l’humanité pensante.
Cette journée vise entre autres, à déconstruire les idées préconçues à l’encontre de la femme et à questionner l’image de la femme à travers les industries culturelles et médiatiques.
La JNFM 2023 sera organisée sur deux journées, articulées en séquences de formations de femmes journalistes professionnels et des Professionnels de la communication autour des thèmes :
- Leadership des femmes des médias,
- Genre et contenus médiatiques
Et, le deuxième jour, avec des panels de haut-niveau autour de deux axes structurants :
- Le poids des mots ;
- Le poids de l’image.
Africa Smart croit fermement aux équilibres et à l’équité en accompagnant ces femmes modèles, qui font l’histoire et sont de véritables moteurs de développement à travers la qualité de leur travail.
L'édition 2022 sur vos écrans
La Commission Nationale de la Francophonie se dote d’une Bibliothèque Numérique
Africa Smart installe la Bibliothèque Numérique de la Commission Nationale de la Francophonie

La Commission Nationale de la Francophonie (CNF) vient de se doter d’un système d’information de type Bibliothèque répondant à ses exigences fonctionnelles, organisationnelles, et décisionnelles ;
L’accès à l’information et les moyens de communication contribuent à la santé et à l’éducation autant qu’au développement culturel et économique. La dissémination de l’information permet aux citoyens de bénéficier d’une éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie. L’information sur les réalisations mondiales permet à chacun de participer de façon constructive au développement de leur propre environnement social.
Un accès équitable à l’héritage culturel et scientifique de la société est donc le droit de tout individu dans sa quête d’avancement de la connaissance. Les bibliothèques sont maintenant numériques et leurs services ouvrent un univers de savoir et d’information, reliant les cultures au delà des frontières géographiques et sociales.
Le système d’information envisagé se veut évolutif tout en demeurant financièrement maitrisable.
Bibliothèque Numérique
Université Senghor
Une bibliothèque numérique est une collection en ligne d’objets numérisés, de grande qualité, qui est créée, rassemblée, gérée selon des principes reconnus pour le développement des collections et rendues accessible d’une manière cohérente et permanente, aidée par des services nécessaires à la recherche et à l’exploitation de ses ressources.
Une bibliothèque numérique permet à des bibliothèques publiques et de recherche de former un réseau d’information numérique en réponse aux besoins de la société de l’information.
L’Université Senghor, université internationale au service du développement africain, délocalise un ensemble d’activités au service de l’Afrique.
Ces Campus Senghor réalisent un ensemble de formations professionnalisantes dans les domaines de la gestion et du management des secteurs public et privé, de la santé publique, de l’environnement, de la culture et de l’éducation qui sont au cœur des compétences de l’Université.
Les Campus organisent des formations diplômantes (master) et des formations professionnelles courtes certifiées par l’Université.
Campus Senghor Côte d'Ivoire
Les Formations proposées
L’Université Senghor et la Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire (CNF), ont fondé le Campus Senghor en Côte d’Ivoire en janvier 2013, sous l′égide du Ministère de la Culture et de la Francophonie.
La Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire est le partenaire institutionnel de l’Université Senghor pour le Campus.
Elle assure la promotion et la communication du Campus ainsi que la coordination et l’organisation logistique de ses activités.
- Master 2 en « Management de projets en partenariat avec l’École pratique de la Chambre (EPCCI)
- Master 2 en « politiques nutritionnelles » en partenairta avec l’Institut National de Santé publique (INSP)
- Master 2 en « Gestions des Industries culturelles » et Master 2 en « Communication et médias » avec l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (INSAAC)
Conception @Africa Smart
A Retenir
- Tables ordinateur et chaises de bureau
- Vidéoprojecteur
- Ordinateurs de bureau haute performance
- Connexion Haut Débit
- Accès aux Ressources Educatives pour la Recherche
Pour la bonne réalisation du Projet, Africa Smart a déployé sa méthodologie basée sur :
- les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
- la maitrise des Technologies Open Source ;
- une approche participative.
Le phasage projet s’est décliné selon :
- L’identification des sources d’information numérique adéquates ;
- La constitution de l’environnement pour rassembler les collections, les services et les ressources en soutien du cycle complet de la création, de la dissémination, de l’utilisation et de la préservation des données, de l’information et du savoir ;
- L’accompagnement de la CNF dans le déploiement de l’infrastructure d’accueil inhérente.
La Commission Nationale de la Francophonie se dote d’une Bibliothèque Numérique
Africa Smart installe la Bibliothèque Numérique de la Commission Nationale de la Francophonie

La Commission Nationale de la Francophonie (CNF) vient de se doter d’un système d’information de type Bibliothèque répondant à ses exigences fonctionnelles, organisationnelles, et décisionnelles ;
L’accès à l’information et les moyens de communication contribuent à la santé et à l’éducation autant qu’au développement culturel et économique. La dissémination de l’information permet aux citoyens de bénéficier d’une éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie. L’information sur les réalisations mondiales permet à chacun de participer de façon constructive au développement de leur propre environnement social.
Un accès équitable à l’héritage culturel et scientifique de la société est donc le droit de tout individu dans sa quête d’avancement de la connaissance. Les bibliothèques sont maintenant numériques et leurs services ouvrent un univers de savoir et d’information, reliant les cultures au delà des frontières géographiques et sociales.
Le système d’information envisagé se veut évolutif tout en demeurant financièrement maitrisable.
Bibliothèque Numérique
Université Senghor
Une bibliothèque numérique est une collection en ligne d’objets numérisés, de grande qualité, qui est créée, rassemblée, gérée selon des principes reconnus pour le développement des collections et rendues accessible d’une manière cohérente et permanente, aidée par des services nécessaires à la recherche et à l’exploitation de ses ressources.
Une bibliothèque numérique permet à des bibliothèques publiques et de recherche de former un réseau d’information numérique en réponse aux besoins de la société de l’information.
L’Université Senghor, université internationale au service du développement africain, délocalise un ensemble d’activités au service de l’Afrique.
Ces Campus Senghor réalisent un ensemble de formations professionnalisantes dans les domaines de la gestion et du management des secteurs public et privé, de la santé publique, de l’environnement, de la culture et de l’éducation qui sont au cœur des compétences de l’Université.
Les Campus organisent des formations diplômantes (master) et des formations professionnelles courtes certifiées par l’Université.
Campus Senghor Côte d'Ivoire
Les Formations proposées
L’Université Senghor et la Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire (CNF), ont fondé le Campus Senghor en Côte d’Ivoire en janvier 2013, sous l′égide du Ministère de la Culture et de la Francophonie.
La Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire est le partenaire institutionnel de l’Université Senghor pour le Campus.
Elle assure la promotion et la communication du Campus ainsi que la coordination et l’organisation logistique de ses activités.
- Master 2 en « Management de projets en partenariat avec l’École pratique de la Chambre (EPCCI)
- Master 2 en « politiques nutritionnelles » en partenairta avec l’Institut National de Santé publique (INSP)
- Master 2 en « Gestions des Industries culturelles » et Master 2 en « Communication et médias » avec l’Institut National Supérieur des Arts et de l’Action Culturelle (INSAAC)
Conception @Africa Smart
A Retenir
- Tables ordinateur et chaises de bureau
- Vidéoprojecteur
- Ordinateurs de bureau haute performance
- Connexion Haut Débit
- Accès aux Ressources Educatives pour la Recherche
Pour la bonne réalisation du Projet, Africa Smart a déployé sa méthodologie basée sur :
- les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
- la maitrise des Technologies Open Source ;
- une approche participative.
Le phasage projet s’est décliné selon :
- L’identification des sources d’information numérique adéquates ;
- La constitution de l’environnement pour rassembler les collections, les services et les ressources en soutien du cycle complet de la création, de la dissémination, de l’utilisation et de la préservation des données, de l’information et du savoir ;
- L’accompagnement de la CNF dans le déploiement de l’infrastructure d’accueil inhérente.
Les modules de formation d’Africa Smart dispensés à l’ISTC Polytechnique d’Abidjan
ISTC Polytechnique fait confiance à Africa Smart pour délivrer les cours d'entreprenariat

La Côte d’Ivoire peut, avec fierté, revendiquer les nombreux progrès réalisés dans le domaine de la communication et des médias. Le secteur connait un développement conséquent depuis de la décennie 90, en réponse aux besoins exprimés par les acteurs du secteur des médias privés et du fait de la reconnaisse par l’Etat du rôle de ce secteur dans la promotion de la Démocratie.
L’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication est, sans nul doute, au cœur de ce progrès, formant depuis près de trente ans, le citoyen de demain en lui donnant les clés d’accès et de réussite dans un monde professionnel en mutation permanente.
Pour développer plus avant sa proposition de valeur au service des acteurs du secteur, et envisager sereinement les évolutions et mutations technologiques en cours, Africa Smart accompagne l’ISTC Polytechnique dans l’encadrement et la formation des apprenants, dans ses aspects Economie des Médias et Economie Numérique, avec l’ambition, à terme de sensibiliser les futurs diplômés à une démarche prospective visant à former les managers de demain.

Les modules de formation d’Africa Smart dispensés à l’ISTC Polytechnique d’Abidjan
ISTC Polytechnique fait confiance à Africa Smart pour délivrer les cours d'entreprenariat

La Côte d’Ivoire peut, avec fierté, revendiquer les nombreux progrès réalisés dans le domaine de la communication et des médias. Le secteur connait un développement conséquent depuis de la décennie 90, en réponse aux besoins exprimés par les acteurs du secteur des médias privés et du fait de la reconnaisse par l’Etat du rôle de ce secteur dans la promotion de la Démocratie.
L’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication est, sans nul doute, au cœur de ce progrès, formant depuis près de trente ans, le citoyen de demain en lui donnant les clés d’accès et de réussite dans un monde professionnel en mutation permanente.
Pour développer plus avant sa proposition de valeur au service des acteurs du secteur, et envisager sereinement les évolutions et mutations technologiques en cours, Africa Smart accompagne l’ISTC Polytechnique dans l’encadrement et la formation des apprenants, dans ses aspects Economie des Médias et Economie Numérique, avec l’ambition, à terme de sensibiliser les futurs diplômés à une démarche prospective visant à former les managers de demain.

Africa Smart accompagne Ylancia Conseil dans l’étude TechEmerge Health West Africa

Africa Smart pilote les volets General Overview et Healthcare Technology landscape du TechEmerge Research Côte d'Ivoire et Sénégal
TechEmerge est un programme primé de la Société financière internationale (IFC) qui accélère l’adoption de l’innovation en mettant en relation des innovateurs du monde entier avec des entreprises et des organisations de premier plan sur les marchés émergents pour piloter des technologies et des services et des technologies révolutionnaires.
Ylancia Conseil, société de conseil pour le développement des entreprises de santé en Afrique subsaharienne, a confié à Africa Smart la rédaction des volets principaux de l’étude TechErmerge Health pour la Côte d’Ivoire et le Sénégal.
Il s’est spécifiquement agi de :
- Collecter et traiter les informations relatives aux deux pays, dans leurs dimensions sociales, économiques et technologiques ;
- Qualifier le paysage ivoiriens et sénégalais de la santé numérique ;
- Identifier des partenaires potentiels au programme TechEmerge West Africa sur les deux pays cible.
Africa Smart accompagne Ylancia Conseil dans l’étude TechEmerge Health West Africa

Africa Smart pilote les volets General Overview et Healthcare Technology landscape du TechEmerge Research Côte d'Ivoire et Sénégal
TechEmerge est un programme primé de la Société financière internationale (IFC) qui accélère l’adoption de l’innovation en mettant en relation des innovateurs du monde entier avec des entreprises et des organisations de premier plan sur les marchés émergents pour piloter des technologies et des services et des technologies révolutionnaires.
Ylancia Conseil, société de conseil pour le développement des entreprises de santé en Afrique subsaharienne, a confié à Africa Smart la rédaction des volets principaux de l’étude TechErmerge Health pour la Côte d’Ivoire et le Sénégal.
Il s’est spécifiquement agi de :
- Collecter et traiter les informations relatives aux deux pays, dans leurs dimensions sociales, économiques et technologiques ;
- Qualifier le paysage ivoiriens et sénégalais de la santé numérique ;
- Identifier des partenaires potentiels au programme TechEmerge West Africa sur les deux pays cible.
Africa Smart déploie le DNSSEC sur le ccTLD ivoirien
Africa Smart implémente le DNSSEC sur les serveurs du ccTLD.ci


Africa Smart exécute pour le compte de l’ARTCI les prestations relatives à l’implémentation de la technologie DNSSEC sur les serveurs de noms de domaine de premier niveau de la Côte d’Ivoire (CCTLD.CI) qui devront permettre la signature de la zone « .CI » .
Africa Smart déploie le DNSSEC sur le ccTLD ivoirien
Africa Smart implémente le DNSSEC sur les serveurs du ccTLD.ci


Africa Smart exécute pour le compte de l’ARTCI les prestations relatives à l’implémentation de la technologie DNSSEC sur les serveurs de noms de domaine de premier niveau de la Côte d’Ivoire (CCTLD.CI) qui devront permettre la signature de la zone « .CI » .
Franche réussite des JNFM22
Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI

La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP) s’est tenue les 30 et 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.
Ce sont plus de 150 journalistes et professionnelles de la Communication qui auront envahi les salles Rosine Diodan et Serge Pacôme Aoulou, réhabilitées pour la circonstance par le REFJPCI, le 30 mars et plus de 600 visiteurs, réunis dans l’amphithéâtre de l’ISTC le 31.
La JNFM 2022 aura tenu toutes ses promesses : efficacité, engagement et émotion.
Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :
- Réflexion stratégique sur les thèmes ;
- Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
- Définition de la stratégie de communication ;
- Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
- Conseil pour la mobilisation de ressources ;
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ».
Conception @AfricaSmart
Processer
Collaborer
Organiser
Intermédier
Revue de Presse
Franche réussite des JNFM22
Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI

La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP) s’est tenue les 30 et 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.
Ce sont plus de 150 journalistes et professionnelles de la Communication qui auront envahi les salles Rosine Diodan et Serge Pacôme Aoulou, réhabilitées pour la circonstance par le REFJPCI, le 30 mars et plus de 600 visiteurs, réunis dans l’amphithéâtre de l’ISTC le 31.
La JNFM 2022 aura tenu toutes ses promesses : efficacité, engagement et émotion.
Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :
- Réflexion stratégique sur les thèmes ;
- Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
- Définition de la stratégie de communication ;
- Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
- Conseil pour la mobilisation de ressources ;
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ».
Conception @AfricaSmart
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Revue de Presse
Africa Smart, partenaire stratégique de la Journée Nationale de la Femme des Médias et dans les Médias
Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI
La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP), se tiendra le 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.
La JNFM 2022 est placée sous la Co-présidence de la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et du Ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie.
Marraine de la 1ère édition: Madame Françoise REMARCK, Présidente du Conseil d’Administration de Canal + Côte d’Ivoire et de A+Ivoire.
Conférencière principale : Madame Anne LEMAISTRE, Cheffe du Bureau UNESCO – Abidjan.
Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :
- Réflexion stratégique sur les thèmes ;
- Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
- Définition de la stratégie de communication ;
- Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
- Conseil pour la mobilisation de ressources ;
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ».
Conception @AfricaSmart
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Organiser
Intermédier
Pourquoi agir ?
La JNFM22 se veut un espace d’échanges et de réflexion sur cette réalité, souvent occultée : la faible représentativité des femmes dans l’espace médiatique en général, et ivoirien en particulier.
Les femmes comptent à peine pour 20% des 959 professionnels référencés par la Commission paritaire d’attribution de la carte de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP) en 2022 ; elles souffrent aussi d’une faible représentation aux postes de décisions dans les rédactions et institutions médiatiques. Ce qui ne leur permet pas d’impacter significativement la qualité et la quantité des informations consacrées au genre.
Il y a un réel décalage entre la place et l’image des femmes dans les médias et leur poids démographique et politique (pour la présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire, les femmes représentaient 52% de l’électorat). Les médias seraient-ils sexistes parce que la réalité l’est ? Si oui, les médias doivent-ils se contenter d’être le reflet de la société ?
Les médias participent de la construction d’images et de symboles renforçant la division du monde dans lequel ils évoluent. Or, nous constatons que l’image de la masculinité est associée à la politique, à l’économie, à la diplomatie, au sport… ; tandis que les femmes, quand elles sont visibles, ne sont ni porteuses d’une parole d’autorité, ni valorisée comme source d’informations crédibles.
Le rôle des médias dans la formation de l’opinion publique démocratique montre qu’ils peuvent et doivent participer à la réduction des inégalités liées aux stéréotypes basées sur le genre. Ils doivent amplifier le pluralisme dans la sphère publique en donnant, de manière équitable, la parole aux femmes et aux hommes.
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre », c’est pour cela que nous parlons d’un « Nouvel Ordre Médiatique ».
Les professionnels des médias doivent accepter leur responsabilité collective en tant que « quatrième pouvoir », participer à (re)mettre en question les conventions et les codes sociaux qui semblent aller de soi et participer à les réécrire.
Et comme le rappelle Joke Hermes (chercheure spécialisée dans le domaine des médias et de la culture populaire) : « la lutte contre les stéréotypes de genre n’est pas une simple question (d’un petit groupe) de femmes. Elle s’inscrit dans une problématique beaucoup plus large et est au cœur de la réalisation de la démocratie, par le biais de l’information et du débat public ».
Africa Smart, partenaire stratégique de la Journée Nationale de la Femme des Médias et dans les Médias
Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI
La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP), se tiendra le 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.
La JNFM 2022 est placée sous la Co-présidence de la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et du Ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie.
Marraine de la 1ère édition: Madame Françoise REMARCK, Présidente du Conseil d’Administration de Canal + Côte d’Ivoire et de A+Ivoire.
Conférencière principale : Madame Anne LEMAISTRE, Cheffe du Bureau UNESCO – Abidjan.
Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :
- Réflexion stratégique sur les thèmes ;
- Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
- Définition de la stratégie de communication ;
- Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
- Conseil pour la mobilisation de ressources ;
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ».
Conception @AfricaSmart
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Collaborer
Organiser
Intermédier
Pourquoi agir ?
La JNFM22 se veut un espace d’échanges et de réflexion sur cette réalité, souvent occultée : la faible représentativité des femmes dans l’espace médiatique en général, et ivoirien en particulier.
Les femmes comptent à peine pour 20% des 959 professionnels référencés par la Commission paritaire d’attribution de la carte de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP) en 2022 ; elles souffrent aussi d’une faible représentation aux postes de décisions dans les rédactions et institutions médiatiques. Ce qui ne leur permet pas d’impacter significativement la qualité et la quantité des informations consacrées au genre.
Il y a un réel décalage entre la place et l’image des femmes dans les médias et leur poids démographique et politique (pour la présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire, les femmes représentaient 52% de l’électorat). Les médias seraient-ils sexistes parce que la réalité l’est ? Si oui, les médias doivent-ils se contenter d’être le reflet de la société ?
Les médias participent de la construction d’images et de symboles renforçant la division du monde dans lequel ils évoluent. Or, nous constatons que l’image de la masculinité est associée à la politique, à l’économie, à la diplomatie, au sport… ; tandis que les femmes, quand elles sont visibles, ne sont ni porteuses d’une parole d’autorité, ni valorisée comme source d’informations crédibles.
Le rôle des médias dans la formation de l’opinion publique démocratique montre qu’ils peuvent et doivent participer à la réduction des inégalités liées aux stéréotypes basées sur le genre. Ils doivent amplifier le pluralisme dans la sphère publique en donnant, de manière équitable, la parole aux femmes et aux hommes.
Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre », c’est pour cela que nous parlons d’un « Nouvel Ordre Médiatique ».
Les professionnels des médias doivent accepter leur responsabilité collective en tant que « quatrième pouvoir », participer à (re)mettre en question les conventions et les codes sociaux qui semblent aller de soi et participer à les réécrire.
Et comme le rappelle Joke Hermes (chercheure spécialisée dans le domaine des médias et de la culture populaire) : « la lutte contre les stéréotypes de genre n’est pas une simple question (d’un petit groupe) de femmes. Elle s’inscrit dans une problématique beaucoup plus large et est au cœur de la réalisation de la démocratie, par le biais de l’information et du débat public ».
Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique
La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».
Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.
Pourquoi être souverain ?
L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.
Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.
Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.
Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique
Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté.
Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud.

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.
Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique.
Conception @AfricaSmart
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Collaborer
Organiser
Intermédier
Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.
![]() | ![]() |
Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :
- Cloud & Sécurité du Cyberespace
- Données numériques
- Réglementation & souveraineté numérique
- Industrie logicielle Open Source
- Tiers lieux & Innovation Ouverte
- gTLD et ccTLD
- Open Data, Open Innovation, Open Content, …
- Innovation, technologies de ruptures & Fintech
- …
Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique
La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».
Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.
Pourquoi être souverain ?
L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.
Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.
Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.
Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique
Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté.
Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud.

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.
Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique.
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Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.
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- Cloud & Sécurité du Cyberespace
- Données numériques
- Réglementation & souveraineté numérique
- Industrie logicielle Open Source
- Tiers lieux & Innovation Ouverte
- gTLD et ccTLD
- Open Data, Open Innovation, Open Content, …
- Innovation, technologies de ruptures & Fintech
- …
Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021
Africa Smart au Comité scientifique de AOIS
L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.
Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.
Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.
Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.
Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats.
La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.
- Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
- Sur quels leviers agir pour la bâtir ?
Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »
Conception @AfricaSmart
Processer
Collaborer
Organiser
Intermédier
Pourquoi les standards ouverts ?
Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.
Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique.
Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.
Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique.
Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.
Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.
![]() | ![]() |
Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :
- Cloud & Sécurité du Cyberespace
- Données numériques
- Réglementation & souveraineté numérique
- Industrie logicielle Open Source
- Tiers lieux & Innovation Ouverte
- gTLD et ccTLD
- Open Data, Open Innovation, Open Content, …
- Innovation, technologies de ruptures & Fintech
- …
Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021
Africa Smart au Comité scientifique de AOIS
L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.
Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.
Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.
Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.
Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats.
La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.
- Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
- Sur quels leviers agir pour la bâtir ?
Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »
Conception @AfricaSmart
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Collaborer
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Intermédier
Pourquoi les standards ouverts ?
Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.
Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique.
Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.
Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique.
Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.
Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.
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Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :
- Cloud & Sécurité du Cyberespace
- Données numériques
- Réglementation & souveraineté numérique
- Industrie logicielle Open Source
- Tiers lieux & Innovation Ouverte
- gTLD et ccTLD
- Open Data, Open Innovation, Open Content, …
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