La Commission Nationale de la Francophonie se dote d’une Bibliothèque Numérique

Africa Smart installe la Bibliothèque Numérique de la Commission Nationale de la Francophonie

La Commission Nationale de la Francophonie (CNF) vient de se doter d’un système d’information de type Bibliothèque répondant à ses exigences fonctionnelles, organisationnelles, et décisionnelles ;

L’accès à l’information et les moyens de communication contribuent à la santé et à l’éducation autant qu’au développement culturel et économique.  La dissémination de l’information permet aux citoyens de bénéficier d’une éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie. L’information sur les réalisations mondiales permet à chacun de participer de façon constructive au développement de leur propre environnement social.

Un accès équitable à l’héritage culturel et scientifique de la société est donc le droit de tout individu dans sa quête d’avancement de la connaissance. Les bibliothèques sont maintenant numériques et leurs services ouvrent un univers de savoir et d’information, reliant les cultures au delà des frontières géographiques et sociales.

Le système d’information envisagé se veut évolutif tout en demeurant financièrement maitrisable.  

Bibliothèque Numérique

Université Senghor

Une bibliothèque numérique est une collection en ligne d’objets numérisés, de grande qualité, qui est créée, rassemblée, gérée selon des principes reconnus pour le développement des collections et rendues accessible d’une manière cohérente et permanente, aidée par des services nécessaires à la recherche et à l’exploitation de ses ressources.

Une bibliothèque numérique permet à des bibliothèques publiques et de recherche de former un réseau d’information numérique en réponse aux besoins de la société de l’information.

L’Université Senghor, université internationale au service du développement africain, délocalise un ensemble d’activités au service de l’Afrique.

Ces Campus Senghor réalisent un ensemble de formations professionnalisantes dans les domaines de la gestion et du management des secteurs public et privé, de la santé publique, de l’environnement, de la culture et de l’éducation qui sont au cœur des compétences de l’Université.

Les Campus organisent des formations diplômantes (master) et des formations professionnelles courtes certifiées par l’Université.

Campus Senghor Côte d'Ivoire

Les Formations proposées

L’Université Senghor et la Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire (CNF), ont fondé le Campus Senghor en Côte d’Ivoire en janvier 2013, sous l′égide du Ministère de la Culture et de la Francophonie.

 

La Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire est le partenaire institutionnel de l’Université Senghor pour le Campus.

Elle assure la promotion et la communication du Campus ainsi que la coordination et l’organisation logistique de ses activités.

 

Conception @Africa Smart

A Retenir

Salle informatique équipée de :
- Tables ordinateur et chaises de bureau
- Vidéoprojecteur
- Ordinateurs de bureau haute performance
- Connexion Haut Débit
- Accès aux Ressources Educatives pour la Recherche

Pour la bonne réalisation du Projet, Africa Smart a déployé sa méthodologie basée sur :

  • les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
  • la maitrise des Technologies Open Source ;
  • une approche participative.

Le phasage projet s’est décliné selon :

  • L’identification des sources d’information numérique adéquates ;
  • La constitution de l’environnement pour rassembler les collections, les services et les ressources en soutien du cycle complet de la création, de la dissémination, de l’utilisation et de la préservation des données, de l’information et du savoir ;
  • L’accompagnement de la CNF dans le déploiement de l’infrastructure d’accueil inhérente.
.ci , Abidjan , Africa Smart , Afrique , AMOA , analyse , Assistance à maitrise d'ouvrage , audit , bibliothèque numérique , Big Data , Cadrage stratégique , Campus Senghor , CNF , Commission Nationale de la Francophonie , communication institutionnelle , Communication stratégique , Confiance numérique , Conseil en organisation , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , Doctorat , données massives , economie des medias , education , egouv , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Formation , francophone , Gouvernance , hub technologique , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , intermédiation , internet , législation , linux , lobbying , logiciel libre , Marketing , Médias , medias , Méthodologie , NTIC , Numérique , OIF , open source , OPENSOURCE , Organisation , Pilotage , plan d’accompagnement , Planification , prospective , REL , Responsabilité Sociale d'Entreprise , Ressources educatives libres , Scientifique , Sécurité , Souveraineté numérique , stratégie , Système d'Information , Technologies , travail collaboratif , Veille , Web
La Commission Nationale de la Francophonie se dote d’une Bibliothèque Numérique

Africa Smart installe la Bibliothèque Numérique de la Commission Nationale de la Francophonie

La Commission Nationale de la Francophonie (CNF) vient de se doter d’un système d’information de type Bibliothèque répondant à ses exigences fonctionnelles, organisationnelles, et décisionnelles ;

L’accès à l’information et les moyens de communication contribuent à la santé et à l’éducation autant qu’au développement culturel et économique.  La dissémination de l’information permet aux citoyens de bénéficier d’une éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie. L’information sur les réalisations mondiales permet à chacun de participer de façon constructive au développement de leur propre environnement social.

Un accès équitable à l’héritage culturel et scientifique de la société est donc le droit de tout individu dans sa quête d’avancement de la connaissance. Les bibliothèques sont maintenant numériques et leurs services ouvrent un univers de savoir et d’information, reliant les cultures au delà des frontières géographiques et sociales.

Le système d’information envisagé se veut évolutif tout en demeurant financièrement maitrisable.  

Bibliothèque Numérique

Université Senghor

Une bibliothèque numérique est une collection en ligne d’objets numérisés, de grande qualité, qui est créée, rassemblée, gérée selon des principes reconnus pour le développement des collections et rendues accessible d’une manière cohérente et permanente, aidée par des services nécessaires à la recherche et à l’exploitation de ses ressources.

Une bibliothèque numérique permet à des bibliothèques publiques et de recherche de former un réseau d’information numérique en réponse aux besoins de la société de l’information.

L’Université Senghor, université internationale au service du développement africain, délocalise un ensemble d’activités au service de l’Afrique.

Ces Campus Senghor réalisent un ensemble de formations professionnalisantes dans les domaines de la gestion et du management des secteurs public et privé, de la santé publique, de l’environnement, de la culture et de l’éducation qui sont au cœur des compétences de l’Université.

Les Campus organisent des formations diplômantes (master) et des formations professionnelles courtes certifiées par l’Université.

Campus Senghor Côte d'Ivoire

Les Formations proposées

L’Université Senghor et la Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire (CNF), ont fondé le Campus Senghor en Côte d’Ivoire en janvier 2013, sous l′égide du Ministère de la Culture et de la Francophonie.

 

La Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire est le partenaire institutionnel de l’Université Senghor pour le Campus.

Elle assure la promotion et la communication du Campus ainsi que la coordination et l’organisation logistique de ses activités.

 

Conception @Africa Smart

A Retenir

Salle informatique équipée de :
- Tables ordinateur et chaises de bureau
- Vidéoprojecteur
- Ordinateurs de bureau haute performance
- Connexion Haut Débit
- Accès aux Ressources Educatives pour la Recherche

Pour la bonne réalisation du Projet, Africa Smart a déployé sa méthodologie basée sur :

  • les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
  • la maitrise des Technologies Open Source ;
  • une approche participative.

Le phasage projet s’est décliné selon :

  • L’identification des sources d’information numérique adéquates ;
  • La constitution de l’environnement pour rassembler les collections, les services et les ressources en soutien du cycle complet de la création, de la dissémination, de l’utilisation et de la préservation des données, de l’information et du savoir ;
  • L’accompagnement de la CNF dans le déploiement de l’infrastructure d’accueil inhérente.
Médias de masse au service du Développement de la Petite Enfance

Africa Smart et Tabala renforcent les activités de Communication pour le Changement des Normes Sociales et des Comportements en matière de nutrition et de Développement de la Petite Enfance au niveau communautaire dans le cadre du PMNDPE

Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan National Multisectoriel de Nutrition (PNMN) 2016-2020, le Projet Multisectoriel de Nutrition et de Développement de la Petite Enfance (PMNDPE) cible les enfants de moins de cinq ans, les femmes en âge de procréer et les adolescentes pour accroître la couverture des interventions de nutrition et de Développement de la Petite Enfance dans 14 régions de la Côte d’Ivoire (Poro, Tchologo, Bagoué, Bounkani, Gontougo, Kabadougou, Folon, Bafing, Worodougou, Béré, Haut-Sassandra, Marahoué, Iffou, et Bélier).

Le PMNDPE travaille avec les administrations décentralisées et des ONG depuis 2019 et entend renforcer et intensifier les actions de communication de proximité avec l’utilisation de divers médias.

Les enjeux du projet confié à Tabala et Africa Smart visent à :

  • Renforcer les interventions de communication pour le changement des normes sociales et des comportements en matière de nutrition et de DPE auprès des communautés cibles en augmentant la visibilité et la notoriété du projet ;
  • Accompagner la mise en œuvre de la campagne nationale focalisée sur la création des soins attentifs parentaux envers les jeunes enfants ;
  • Rédiger des scripts pour la nutrition et le DPE en se basant sur des recherches formatives et des modèles scientifiques éprouvés ;
  • Créer et produire les messages multi-supports de sensibilisation pour la nutrition et le Développement de la Petite Enfance ;
  • Mener les campagnes dans les zones d’intervention du PMNDPE.

Analyse situationnelle du DPE en Côte d'Ivoire

Après des décennies de forte croissance économique, la Côte d’Ivoire a connu une série de revers économiques et politiques, entraînant, jusqu’en 2011, une détérioration généralisée du niveau de vie. Depuis le deuxième semestre de l’année 2011, la croissance économique a repris avec un PIB en hausse de constante, même ralenti par les effets de la pandémie à COVID-19. Malgré cette embellie économique, la pauvreté, relativement importante (39,4% en 2020) impacte particulièrement les zones rurales (+2,4%) et les enfants demeurent vulnérables aux effets directs et indirects.

Les initiatives institutionnelles relatives à la protection de l’enfant datent du début des années 2010 avec un plan et une politique nationale de protection de l’enfant (2012). Depuis 2015, des initiatives fortes sont constatées au travers du Projet Multisectoriel de Nutrition et de Développement de la Petite Enfance (PMNDPE), visant notamment à réduire, drastiquement le taux national de prévalence du retard de croissance, aujourd’hui à 30%. La prise en compte des effets, à long terme, du développement optimal lors de la petite enfance a engendré des actions portant sur la nutrition, la santé, la protection sociale et l’éducation.

A Retenir

Contexte national récent avec des revers économiques et politiques, entraînant, jusqu’en 2011, une détérioration généralisée du niveau de vie.

Croissance économique en reprise, PIB en hausse, même ralenti par COVID-19.

Cependant, pauvreté de 39,4% en 2020, spécifiquement en zone rurale Enfants vulnérables

Plan et politique nationale de protection de l'enfant (2012)

Projet Multisectoriel de Nutrition et de Développement de la Petite Enfance (2015)

Transformation de l’éducation dans les communautés productrices de cacao et l’International Rescue Committee (2017)

Conception @Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Documenter

Durée du Projet : 198 jours

Le projet donne l’occasion à Africa Smart de déployer sa méthodologie basée sur :

  • les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
  • la maitrise de l’écosystème de la communication et des médias en Côte d’Ivoire ;
  • une approche participative.

Les campagnes radio créées seront fondées sur des données probantes issues d’une recherche formative ;

Les scripts prendront en compte tous les facteurs inhérents ;

Les diffusions seront faites en langue vernaculaire.

.ci , Abidjan , Africa Smart , Afrique , analyse , audit , Big Data , Cadrage stratégique , Campaign , communication , communication institutionnelle , Communication stratégique , Conseil en organisation , Côte d'Ivoire , Développement , Développement cognitif , Développement de la Petite Enfance , Développement économique , données massives , DPE , economie des medias , education , eHealth , études , Gouvernance , Indicateur de développement des médias , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , intermédiation , Journalisme , lobbying , Marketing , medias , Médias , médias de masse , Numérique , Organisation , pidc , Pilotage , plan d’accompagnement , Planification , presse , presse numérique , Professionnels de la Communication , prospective , Régulation des médias , Regulation des médias , Responsabilité Sociale d'Entreprise , RSE , Santé , Social , stratégie , television , Veille
Médias de masse au service du Développement de la Petite Enfance

Africa Smart et Tabala renforcent les activités de Communication pour le Changement des Normes Sociales et des Comportements en matière de nutrition et de Développement de la Petite Enfance au niveau communautaire dans le cadre du PMNDPE

Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan National Multisectoriel de Nutrition (PNMN) 2016-2020, le Projet Multisectoriel de Nutrition et de Développement de la Petite Enfance (PMNDPE) cible les enfants de moins de cinq ans, les femmes en âge de procréer et les adolescentes pour accroître la couverture des interventions de nutrition et de Développement de la Petite Enfance dans 14 régions de la Côte d’Ivoire (Poro, Tchologo, Bagoué, Bounkani, Gontougo, Kabadougou, Folon, Bafing, Worodougou, Béré, Haut-Sassandra, Marahoué, Iffou, et Bélier).

Le PMNDPE travaille avec les administrations décentralisées et des ONG depuis 2019 et entend renforcer et intensifier les actions de communication de proximité avec l’utilisation de divers médias.

Les enjeux du projet confié à Tabala et Africa Smart visent à :

  • Renforcer les interventions de communication pour le changement des normes sociales et des comportements en matière de nutrition et de DPE auprès des communautés cibles en augmentant la visibilité et la notoriété du projet ;
  • Accompagner la mise en œuvre de la campagne nationale focalisée sur la création des soins attentifs parentaux envers les jeunes enfants ;
  • Rédiger des scripts pour la nutrition et le DPE en se basant sur des recherches formatives et des modèles scientifiques éprouvés ;
  • Créer et produire les messages multi-supports de sensibilisation pour la nutrition et le Développement de la Petite Enfance ;
  • Mener les campagnes dans les zones d’intervention du PMNDPE.

Analyse situationnelle du DPE en Côte d'Ivoire

Après des décennies de forte croissance économique, la Côte d’Ivoire a connu une série de revers économiques et politiques, entraînant, jusqu’en 2011, une détérioration généralisée du niveau de vie. Depuis le deuxième semestre de l’année 2011, la croissance économique a repris avec un PIB en hausse de constante, même ralenti par les effets de la pandémie à COVID-19. Malgré cette embellie économique, la pauvreté, relativement importante (39,4% en 2020) impacte particulièrement les zones rurales (+2,4%) et les enfants demeurent vulnérables aux effets directs et indirects.

Les initiatives institutionnelles relatives à la protection de l’enfant datent du début des années 2010 avec un plan et une politique nationale de protection de l’enfant (2012). Depuis 2015, des initiatives fortes sont constatées au travers du Projet Multisectoriel de Nutrition et de Développement de la Petite Enfance (PMNDPE), visant notamment à réduire, drastiquement le taux national de prévalence du retard de croissance, aujourd’hui à 30%. La prise en compte des effets, à long terme, du développement optimal lors de la petite enfance a engendré des actions portant sur la nutrition, la santé, la protection sociale et l’éducation.

A Retenir

Contexte national récent avec des revers économiques et politiques, entraînant, jusqu’en 2011, une détérioration généralisée du niveau de vie.

Croissance économique en reprise, PIB en hausse, même ralenti par COVID-19.

Cependant, pauvreté de 39,4% en 2020, spécifiquement en zone rurale Enfants vulnérables

Plan et politique nationale de protection de l'enfant (2012)

Projet Multisectoriel de Nutrition et de Développement de la Petite Enfance (2015)

Transformation de l’éducation dans les communautés productrices de cacao et l’International Rescue Committee (2017)

Conception @Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Documenter

Durée du Projet : 198 jours

Le projet donne l’occasion à Africa Smart de déployer sa méthodologie basée sur :

  • les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
  • la maitrise de l’écosystème de la communication et des médias en Côte d’Ivoire ;
  • une approche participative.

Les campagnes radio créées seront fondées sur des données probantes issues d’une recherche formative ;

Les scripts prendront en compte tous les facteurs inhérents ;

Les diffusions seront faites en langue vernaculaire.

La Commission Nationale de la Francophonie confie à Africa Smart une mission de Conseil en Organisation

Africa Smart pilote le volet organisationnel de la Commission Nationale de la Francophonie

Accompagner

Accompagner les entreprises dans la définition d’une trajectoire rationnelle déclinée dans un plan d'exécution réaliste s’appuyant sur les compétences, les charges, les délais, et les orientations stratégiques.

Organiser

Structurer et renforcer la gouvernance pour aider à la prise de décision et gagner en efficacité. Optimiser les organisations et leurs processus dans une logique de complémentarité des métiers.

Renforcer

Renforcer la maîtrise des projets à travers le développement et la diffusion d’un référentiel de management projet adapté à l’organisation. Accompagner les organisations dans la conduite de projets complexes, en intégrant méthode et innovation.

.ci , Abidjan , Africa Smart , Afrique , AMOA , analyse , Assistance à maitrise d'ouvrage , audit , Big Data , Cadrage stratégique , CNF , Commission Nationale de la Francophonie , Communication stratégique , Conseil en organisation , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , données massives , egouv , études , Gouvernance , info , innovation , législation , lobbying , Marketing , Méthodologie , Numérique , Organisation , Pilotage , plan d’accompagnement , Planification , prospective , stratégie , Veille
La Commission Nationale de la Francophonie confie à Africa Smart une mission de Conseil en Organisation

Africa Smart pilote le volet organisationnel de la Commission Nationale de la Francophonie

Accompagner

Accompagner les entreprises dans la définition d’une trajectoire rationnelle déclinée dans un plan d'exécution réaliste s’appuyant sur les compétences, les charges, les délais, et les orientations stratégiques.

Organiser

Structurer et renforcer la gouvernance pour aider à la prise de décision et gagner en efficacité. Optimiser les organisations et leurs processus dans une logique de complémentarité des métiers.

Renforcer

Renforcer la maîtrise des projets à travers le développement et la diffusion d’un référentiel de management projet adapté à l’organisation. Accompagner les organisations dans la conduite de projets complexes, en intégrant méthode et innovation.

Les modules de formation d’Africa Smart dispensés à l’ISTC Polytechnique d’Abidjan

ISTC Polytechnique fait confiance à Africa Smart pour délivrer les cours d'entreprenariat

La Côte d’Ivoire peut, avec fierté, revendiquer les nombreux progrès réalisés dans le domaine de la communication et des médias. Le secteur connait un développement conséquent depuis de la décennie 90, en réponse aux besoins exprimés par les acteurs du secteur des médias privés et du fait de la reconnaisse par l’Etat du rôle de ce secteur dans la promotion de la Démocratie.

L’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication est, sans nul doute, au cœur de ce progrès, formant depuis près de trente ans, le citoyen de demain en lui donnant les clés d’accès et de réussite dans un monde professionnel en mutation permanente.

Pour développer plus avant sa proposition de valeur au service des acteurs du secteur, et envisager sereinement les évolutions et mutations technologiques en cours, Africa Smart accompagne l’ISTC Polytechnique dans l’encadrement et la formation des apprenants, dans ses aspects Economie des Médias et Economie Numérique, avec l’ambition, à terme de sensibiliser les futurs diplômés à une démarche prospective visant à former les managers de demain.

.ci , Abidjan , Africa Smart , Afrique , aide publique aux médias , analyse , audiovisuel , audit , Big Data , Business , Cadrage stratégique , Campaign , communication , communication institutionnelle , Communication stratégique , Confiance numérique , Conseil en organisation , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , données massives , economie des medias , education , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Formation , Gouvernance , haca , IDM , image , incubateur , Indicateur de développement des médias , info , Information Technology , innovation , internet , ISTC , ISTC Polytechnique , Journalisme , Journalistes , législation , lobbying , Marketing , medias , Médias , médias de masse , Méthodologie , NTIC , Numérique , Organisation , pidc , Pilotage , plan d’accompagnement , Planification , presse , presse numérique , Professionnels de la Communication , prospective , radio , regulation , Régulation des médias , Regulation des médias , REL , Ressources educatives libres , Scientifique , Secteur privé , Souveraineté numérique , Start-Up , stratégie , Système d'Information , Technologies , television , travail collaboratif , Veille , Web
Les modules de formation d’Africa Smart dispensés à l’ISTC Polytechnique d’Abidjan

ISTC Polytechnique fait confiance à Africa Smart pour délivrer les cours d'entreprenariat

La Côte d’Ivoire peut, avec fierté, revendiquer les nombreux progrès réalisés dans le domaine de la communication et des médias. Le secteur connait un développement conséquent depuis de la décennie 90, en réponse aux besoins exprimés par les acteurs du secteur des médias privés et du fait de la reconnaisse par l’Etat du rôle de ce secteur dans la promotion de la Démocratie.

L’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication est, sans nul doute, au cœur de ce progrès, formant depuis près de trente ans, le citoyen de demain en lui donnant les clés d’accès et de réussite dans un monde professionnel en mutation permanente.

Pour développer plus avant sa proposition de valeur au service des acteurs du secteur, et envisager sereinement les évolutions et mutations technologiques en cours, Africa Smart accompagne l’ISTC Polytechnique dans l’encadrement et la formation des apprenants, dans ses aspects Economie des Médias et Economie Numérique, avec l’ambition, à terme de sensibiliser les futurs diplômés à une démarche prospective visant à former les managers de demain.

Africa Smart accompagne Ylancia Conseil dans l’étude TechEmerge Health West Africa

Africa Smart pilote les volets General Overview et Healthcare Technology landscape du TechEmerge Research Côte d'Ivoire et Sénégal

TechEmerge est un programme primé de la Société financière internationale (IFC) qui accélère l’adoption de l’innovation en mettant en relation des innovateurs du monde entier avec des entreprises et des organisations de premier plan sur les marchés émergents pour piloter des technologies et des services et des technologies révolutionnaires.

Ylancia Conseil, société de conseil pour le développement des entreprises de santé en Afrique subsaharienne, a confié à Africa Smart la rédaction des volets principaux de l’étude TechErmerge Health pour la Côte d’Ivoire et le Sénégal.

Il s’est spécifiquement agi de :

  1. Collecter et traiter les informations relatives aux deux pays, dans leurs dimensions sociales, économiques et technologiques ;
  2. Qualifier le paysage ivoiriens et sénégalais de la santé numérique ;
  3. Identifier des partenaires potentiels au programme TechEmerge West Africa sur les deux pays cible.
.ci , Abidjan , Africa Smart , Afrique , analyse , ARTCI , audit , Big Data , Business , Campaign , CEDEAO , centre hospitalier , Communication stratégique , Confiance numérique , Côte d'Ivoire , COVID , Développement , Développement économique , DNS , DNSSEC , données massives , droit des telecom , egouv , eHealth , Engineering , Entrepreunariat , Entreprise numerique , ERP , ERP Open Source , études , Finance , Gouvernance , Gouvernance Internet , IFC , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , intermédiation , International Finance Corporation , internet , IPv6 , IT , législation , lobbying , logiciel libre , Marketing , NTIC , Numérique , open source , OPENSOURCE , Organisation , Planification , PNDS , prospective , Registre Internet , regulation , Régulation des Telecoms , Santé , Scientifique , Secteur privé , Sécurité , SFI , Société Financière Internationale , Souveraineté numérique , Start-Up , stratégie , Système d'Information , TechEmerge , Technologies , travail collaboratif , Veille , Web , Ylancia
Africa Smart accompagne Ylancia Conseil dans l’étude TechEmerge Health West Africa

Africa Smart pilote les volets General Overview et Healthcare Technology landscape du TechEmerge Research Côte d'Ivoire et Sénégal

TechEmerge est un programme primé de la Société financière internationale (IFC) qui accélère l’adoption de l’innovation en mettant en relation des innovateurs du monde entier avec des entreprises et des organisations de premier plan sur les marchés émergents pour piloter des technologies et des services et des technologies révolutionnaires.

Ylancia Conseil, société de conseil pour le développement des entreprises de santé en Afrique subsaharienne, a confié à Africa Smart la rédaction des volets principaux de l’étude TechErmerge Health pour la Côte d’Ivoire et le Sénégal.

Il s’est spécifiquement agi de :

  1. Collecter et traiter les informations relatives aux deux pays, dans leurs dimensions sociales, économiques et technologiques ;
  2. Qualifier le paysage ivoiriens et sénégalais de la santé numérique ;
  3. Identifier des partenaires potentiels au programme TechEmerge West Africa sur les deux pays cible.
Le groupement Africa Smart – MS International mis en mission « IDM Côte d’Ivoire » par le FSDP

Africa Smart développe les Indicateurs de Développement des Médias Côte d'Ivoire

L’objectif général de la mission  confiée au groupement Africa Smart / MS International est d’évaluer le développement du secteur des médias en 2022.

De façon spécifique, il s’agit de:

  1. Collecter et traiter les informations nécessaires au calcul des indicateurs.
  2. Donner une valeur aux 67 indicateurs.
  3. Analyser et commenter les indicateurs.

Les travaux seront réalisés en 4 mois avec l’organe en charge de l’aide publique aux médias, FSDP devenant ASDM, et les acteurs du secteur des médias.

économique et financier
0
Strates
0
Indicateurs
légaL et réglementaire
0
Strates
0
Indicateurs
.ci , Abidjan , Africa Smart , Afrique , Agence de Soutien et de Développement des Médias , aide publique aux médias , analyse , ASDM , audiovisuel , audit , Big Data , Business , Campaign , communication , communication institutionnelle , Communication stratégique , Confiance numérique , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , données massives , economie des medias , education , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Fonds de Soutien et de Développement de la Presse , Formation , FSDP , FSDP CI , Gouvernance , haca , IDM , image , incubateur , Indicateur de développement des médias , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , intermédiation , internet , Journalisme , Journalistes , Marketing , Médias , medias , médias de masse , Numérique , Organisation , pidc , Planification , presse , presse numérique , Professionnels de la Communication , prospective , radio , regulation , Régulation des médias , Regulation des médias , Secteur privé , Social , stratégie , Système d'Information , Technologies , television , travail collaboratif , unesco , Veille , Web
Le groupement Africa Smart – MS International mis en mission « IDM Côte d’Ivoire » par le FSDP

Africa Smart développe les Indicateurs de Développement des Médias Côte d'Ivoire

L’objectif général de la mission  confiée au groupement Africa Smart / MS International est d’évaluer le développement du secteur des médias en 2022.

De façon spécifique, il s’agit de:

  1. Collecter et traiter les informations nécessaires au calcul des indicateurs.
  2. Donner une valeur aux 67 indicateurs.
  3. Analyser et commenter les indicateurs.

Les travaux seront réalisés en 4 mois avec l’organe en charge de l’aide publique aux médias, FSDP devenant ASDM, et les acteurs du secteur des médias.

économique et financier
0
Strates
0
Indicateurs
légaL et réglementaire
0
Strates
0
Indicateurs
Nouvelle collaboration Africa Smart – Africa Radio pour le développement d’une émission thématique

Africa Radio confie à Africa Smart la conception de son dossier d'émission thématique

AFRICA RADIO renouvelle sa confiance à Africa Smart pour l’appui à la production d’un dossier thématique, mettant en lumière le rayonnement de la culture ivoirienne sur ses ondes.

Africa Smart réalise spécifiquement l’accompagnement stratégique pour la préparation du dossier, en interagissant avec les différents interlocuteurs pour valider les angles rédactionnels de l’équipe ARICA RADIO Abidjan et assurer le suivi du dossier jusqu’à terminaison.

.ci , Abidjan , Africa Radio , Africa Smart , Afrique , aide publique aux médias , analyse , audiovisuel , audit , Big Data , Business , Campaign , communication , communication institutionnelle , Communication stratégique , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , economie des medias , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Fonds de Soutien et de Développement de la Presse , FSDP , FSDP CI , IDM , Indicateur de développement des médias , info , Information Technology , innovation , internet , Journalisme , Journalistes , Marketing , medias , Médias , médias de masse , Numérique , Organisation , Planification , presse , presse numérique , Professionnels de la Communication , prospective , radio , regulation , Régulation des médias , Regulation des médias , Secteur privé , stratégie , Système d'Information , Technologies , travail collaboratif , Veille , video , Web
Nouvelle collaboration Africa Smart – Africa Radio pour le développement d’une émission thématique

Africa Radio confie à Africa Smart la conception de son dossier d'émission thématique

AFRICA RADIO renouvelle sa confiance à Africa Smart pour l’appui à la production d’un dossier thématique, mettant en lumière le rayonnement de la culture ivoirienne sur ses ondes.

Africa Smart réalise spécifiquement l’accompagnement stratégique pour la préparation du dossier, en interagissant avec les différents interlocuteurs pour valider les angles rédactionnels de l’équipe ARICA RADIO Abidjan et assurer le suivi du dossier jusqu’à terminaison.

Africa Smart déploie le DNSSEC sur le ccTLD ivoirien

Africa Smart implémente le DNSSEC sur les serveurs du ccTLD.ci

Africa Smart exécute pour le compte de l’ARTCI les prestations relatives à l’implémentation de la technologie DNSSEC sur les serveurs de noms de domaine de premier niveau de la Côte d’Ivoire (CCTLD.CI) qui devront permettre la signature de la zone « .CI » .

.ci , Abidjan , Africa Smart , AFRINIC , Afrique , analyse , ARTCI , audit , Big Data , communication , Communication stratégique , Confiance numérique , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , DNS , DNSSEC , données massives , egouv , Engineering , Entreprise numerique , études , Formation , Gouvernance , Gouvernance Internet , hub technologique , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , intermédiation , internet , IPv6 , IT , linux , logiciel libre , MICENUP , NTIC , Numérique , open source , OPENSOURCE , Organisation , Planification , prospective , Registre Internet , regulation , Régulation des Telecoms , RIR , Scientifique , Secteur privé , Sécurité , Souveraineté numérique , Start-Up , stratégie , Système d'Information , Technologies , travail collaboratif , Veille , Web
Africa Smart déploie le DNSSEC sur le ccTLD ivoirien

Africa Smart implémente le DNSSEC sur les serveurs du ccTLD.ci

Africa Smart exécute pour le compte de l’ARTCI les prestations relatives à l’implémentation de la technologie DNSSEC sur les serveurs de noms de domaine de premier niveau de la Côte d’Ivoire (CCTLD.CI) qui devront permettre la signature de la zone « .CI » .

Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
.ci , Abidjan , Africa Open Innovation Summit , Africa Smart , Afrique , analyse , AOIS , ARTCI , Big Data , Business , CEDEAO , communication , communication institutionnelle , Confiance numérique , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , DNS , DNSSEC , données massives , egouv , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Formation , Gouvernance , Gouvernance Internet , hub technologique , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , internet , IPv6 , IT , lobbying , Marketing , NTIC , Numérique , OIF , open source , OPENSOURCE , Organisation , Planification , prospective , regulation , Régulation des Telecoms , Scientifique , Sécurité , Souveraineté numérique , Start-Up , stratégie , Système d'Information , Technologies , Veille , Web
Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021

Africa Smart au Comité scientifique de AOIS

L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.

Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.

Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.

Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.

Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats. 

La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.

  • Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
  • Sur quels leviers agir pour la bâtir ?

Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Pourquoi les standards ouverts ?

Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.

Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique. 

Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.

Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique. 

Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
.ci , Abidjan , Africa Open Innovation Summit , Africa Smart , Afrique , analyse , AOIS , Big Data , Business , communication , communication institutionnelle , Confiance numérique , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , données massives , egouv , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Formation , Gouvernance , Gouvernance Internet , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , internet , lobbying , logiciel libre , Marketing , NTIC , Numérique , open source , OPENSOURCE , Organisation , Planification , prospective , regulation , Régulation des Telecoms , REL , Ressources educatives libres , Scientifique , Sécurité , Souveraineté numérique , Start-Up , stratégie , Système d'Information , Technologies , Veille , Web
Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021

Africa Smart au Comité scientifique de AOIS

L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.

Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.

Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.

Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.

Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats. 

La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.

  • Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
  • Sur quels leviers agir pour la bâtir ?

Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Pourquoi les standards ouverts ?

Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.

Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique. 

Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.

Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique. 

Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Aller au contenu principal