Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les médias (JNFM)

Africa Smart apporte son expertise

Africa Smart accompagne le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) dans l’organisation de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les médias (JNFM).

L’édition 2023 de la JNFM, comme celle de 2022, bénéficie de l’expertise de Africa Smart.

Le thème retenu pour l’édition 2023 est : « l’image de la femme dans la culture urbaine ».

 

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ». 

S.M. Agnès Kraidy

C’est aussi l’occasion pour Africa Smart d’apporter sa contribution à la journée d’action, de sensibilisation et de mobilisation dédiée à la lutte pour les droits des femmes, l’égalité et la justice à la faveur de la Journée internationale des femmes, célébrée tous les ans à la date du 8 mars.

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Africa Smart, dans sa démarche, mettra en place les instruments de suivi-évaluation de cette activité et participera à la compréhension collective du rôle productif dans tous les domaines de la vie, de la femme qui incarne, il faut le souligner les valeurs qui fondent et fécondent l’humanité pensante.


Cette journée vise entre autres, à déconstruire les idées préconçues à l’encontre de la femme et à questionner l’image de la femme à travers les industries culturelles et médiatiques.

La JNFM 2023 sera organisée sur deux journées, articulées en séquences de formations de femmes journalistes professionnels et des Professionnels de la communication autour des thèmes :

  • Leadership des femmes des médias,
  • Genre et contenus médiatiques

Et, le deuxième jour, avec des panels de haut-niveau autour de deux axes structurants :

  • Le poids des mots ;
  • Le poids de l’image.

Africa Smart croit fermement aux équilibres et à l’équité en accompagnant ces femmes modèles, qui font l’histoire et sont de véritables moteurs de développement à travers la qualité de leur travail.

L'édition 2022 sur vos écrans

Franche réussite des JNFM22

Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI

La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP) s’est tenue les 30 et 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.

Ce sont plus de 150 journalistes et professionnelles de la Communication qui auront envahi les salles Rosine Diodan et Serge Pacôme Aoulou, réhabilitées pour la circonstance par le REFJPCI, le 30 mars et plus de 600 visiteurs, réunis dans l’amphithéâtre de l’ISTC le 31.

La JNFM 2022 aura tenu toutes ses promesses : efficacité, engagement et émotion. 

 

Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :

  • Réflexion stratégique sur les thèmes ;
  • Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
  • Définition de la stratégie de communication ;
  • Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
  • Conseil pour la mobilisation de ressources ;

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ». 

S.M. Agnès Kraidy

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Revue de Presse

Africa Smart, partenaire stratégique de la Journée Nationale de la Femme des Médias et dans les Médias

Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI

La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP), se tiendra le 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.

La JNFM 2022 est placée sous la Co-présidence de la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et du Ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie.

Marraine de la 1ère édition: Madame Françoise REMARCK, Présidente du Conseil d’Administration de Canal + Côte d’Ivoire et de A+Ivoire.

Conférencière principale : Madame Anne LEMAISTRE, Cheffe du Bureau UNESCO – Abidjan.

 

Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :

  • Réflexion stratégique sur les thèmes ;
  • Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
  • Définition de la stratégie de communication ;
  • Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
  • Conseil pour la mobilisation de ressources ;

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ». 

S.M. Agnès Kraidy

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Pourquoi agir ?

La JNFM22 se veut un espace d’échanges et de réflexion sur cette réalité, souvent occultée : la faible représentativité des femmes dans l’espace médiatique en général, et ivoirien en particulier.

Les femmes comptent à peine pour 20% des 959 professionnels référencés par la Commission paritaire d’attribution de la carte de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP) en 2022 ; elles souffrent aussi d’une faible représentation aux postes de décisions dans les rédactions et institutions médiatiques. Ce qui ne leur permet pas d’impacter significativement la qualité et la quantité des informations consacrées au genre.

Il y a un réel décalage entre la place et l’image des femmes dans les médias et leur poids démographique et politique (pour la présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire, les femmes représentaient 52% de l’électorat). Les médias seraient-ils sexistes parce que la réalité l’est ? Si oui, les médias doivent-ils se contenter d’être le reflet de la société ?

Les médias participent de la construction d’images et de symboles renforçant la division du monde dans lequel ils évoluent. Or, nous constatons que l’image de la masculinité est associée à la politique, à l’économie, à la diplomatie, au sport… ; tandis que les femmes, quand elles sont visibles, ne sont ni porteuses d’une parole d’autorité, ni valorisée comme source d’informations crédibles.

Le rôle des médias dans la formation de l’opinion publique démocratique montre qu’ils peuvent et doivent participer à la réduction des inégalités liées aux stéréotypes basées sur le genre. Ils doivent amplifier le pluralisme dans la sphère publique en donnant, de manière équitable, la parole aux femmes et aux hommes.

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre », c’est pour cela que nous parlons d’un « Nouvel Ordre Médiatique ».

Les professionnels des médias doivent accepter leur responsabilité collective en tant que « quatrième pouvoir », participer à (re)mettre en question les conventions et les codes sociaux qui semblent aller de soi et participer à les réécrire.

Et comme le rappelle Joke Hermes (chercheure spécialisée dans le domaine des médias et de la culture populaire) : « la lutte contre les stéréotypes de genre n’est pas une simple question (d’un petit groupe) de femmes. Elle s’inscrit dans une problématique beaucoup plus large et est au cœur de la réalisation de la démocratie, par le biais de l’information et du débat public ».

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