Category travail collaboratif

Africa Smart déploie le DNSSEC sur le ccTLD ivoirien

Africa Smart implémente le DNSSEC sur les serveurs du ccTLD.ci

Africa Smart exécute pour le compte de l’ARTCI les prestations relatives à l’implémentation de la technologie DNSSEC sur les serveurs de noms de domaine de premier niveau de la Côte d’Ivoire (CCTLD.CI) qui devront permettre la signature de la zone « .CI » .

Franche réussite des JNFM22

Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI

La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP) s’est tenue les 30 et 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.

Ce sont plus de 150 journalistes et professionnelles de la Communication qui auront envahi les salles Rosine Diodan et Serge Pacôme Aoulou, réhabilitées pour la circonstance par le REFJPCI, le 30 mars et plus de 600 visiteurs, réunis dans l’amphithéâtre de l’ISTC le 31.

La JNFM 2022 aura tenu toutes ses promesses : efficacité, engagement et émotion. 

 

Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :

  • Réflexion stratégique sur les thèmes ;
  • Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
  • Définition de la stratégie de communication ;
  • Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
  • Conseil pour la mobilisation de ressources ;

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ». 

S.M. Agnès Kraidy

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Revue de Presse

Africa Smart, partenaire stratégique de la Journée Nationale de la Femme des Médias et dans les Médias

Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI

La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP), se tiendra le 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.

La JNFM 2022 est placée sous la Co-présidence de la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et du Ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie.

Marraine de la 1ère édition: Madame Françoise REMARCK, Présidente du Conseil d’Administration de Canal + Côte d’Ivoire et de A+Ivoire.

Conférencière principale : Madame Anne LEMAISTRE, Cheffe du Bureau UNESCO – Abidjan.

 

Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :

  • Réflexion stratégique sur les thèmes ;
  • Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
  • Définition de la stratégie de communication ;
  • Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
  • Conseil pour la mobilisation de ressources ;

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ». 

S.M. Agnès Kraidy

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Pourquoi agir ?

La JNFM22 se veut un espace d’échanges et de réflexion sur cette réalité, souvent occultée : la faible représentativité des femmes dans l’espace médiatique en général, et ivoirien en particulier.

Les femmes comptent à peine pour 20% des 959 professionnels référencés par la Commission paritaire d’attribution de la carte de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP) en 2022 ; elles souffrent aussi d’une faible représentation aux postes de décisions dans les rédactions et institutions médiatiques. Ce qui ne leur permet pas d’impacter significativement la qualité et la quantité des informations consacrées au genre.

Il y a un réel décalage entre la place et l’image des femmes dans les médias et leur poids démographique et politique (pour la présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire, les femmes représentaient 52% de l’électorat). Les médias seraient-ils sexistes parce que la réalité l’est ? Si oui, les médias doivent-ils se contenter d’être le reflet de la société ?

Les médias participent de la construction d’images et de symboles renforçant la division du monde dans lequel ils évoluent. Or, nous constatons que l’image de la masculinité est associée à la politique, à l’économie, à la diplomatie, au sport… ; tandis que les femmes, quand elles sont visibles, ne sont ni porteuses d’une parole d’autorité, ni valorisée comme source d’informations crédibles.

Le rôle des médias dans la formation de l’opinion publique démocratique montre qu’ils peuvent et doivent participer à la réduction des inégalités liées aux stéréotypes basées sur le genre. Ils doivent amplifier le pluralisme dans la sphère publique en donnant, de manière équitable, la parole aux femmes et aux hommes.

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre », c’est pour cela que nous parlons d’un « Nouvel Ordre Médiatique ».

Les professionnels des médias doivent accepter leur responsabilité collective en tant que « quatrième pouvoir », participer à (re)mettre en question les conventions et les codes sociaux qui semblent aller de soi et participer à les réécrire.

Et comme le rappelle Joke Hermes (chercheure spécialisée dans le domaine des médias et de la culture populaire) : « la lutte contre les stéréotypes de genre n’est pas une simple question (d’un petit groupe) de femmes. Elle s’inscrit dans une problématique beaucoup plus large et est au cœur de la réalisation de la démocratie, par le biais de l’information et du débat public ».

Le FSDP invite la CEDEAO à se pencher sur l’aide publique aux médias

Africa Smart accompagne le FSDP dans l'organisation de son premier colloque international consacré à l'aide publique aux médias

Les Médias sont essentiels pour le fonctionnement des démocraties ; L’information permet au citoyen forger sa conscience et ses opinions, notamment au regard de la conduite des politiques publiques. Le pluralisme de l’information est une réalité dans la plupart des pays francophones et l’essor de la Télévision Numérique Terrestre vient renforcer cette dynamique. Pour autant, le secteur connait d’importantes difficultés depuis une dizaine d’années, obligeant les autorités publiques à créer des cadres institutionnels d’encadrement, de régulation et d’aide publique aux entreprises de médias. 

Malgré les efforts des gouvernements, le secteur reste structurellement déficitaire.

Par ailleurs, les mécanismes internationaux d’aides aux médias demeurent, pour la plupart, inconnus des potentiels bénéficiaires.

Confiance renouvelée

Après avoir fait confiance à Africa Smart pour conduire les réflexions relatives aux Indicateurs de Développement des Médias en Côte d’Ivoire, le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse réitère son engagement avec Africa Smart pour piloter, aux côtés de la Direction Exécutive, le bon accomplissement de son projet.

Le FSDP initie un colloque, sur le thème « Quelles stratégies d’appui durable au développement des médias dans l’espace CEDEAO ? » pour créer une synergie de réflexions et d’actions sur l’avenir des médias dans notre espace commun.

L’ambition est de mettre en place un réseau sous régional des organes en charge de l’aide publique aux médias.

 

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Africa Smart, partenaire du Salon du Numérique au Burkina Faso

Africa Smart vous donne rendez-vous à Bobo-Dioulasso

La pandémie à covid-19 aura-t-elle définitivement transformé nos habitudes ?  Le monde du travail aura t-il définitivement adopté la posture distancielle, digitalisée et dématérialisée ?  Sur le continent africain, et spécifiquement en Afrique de l’Ouest, les organisations sont elles réellement préparées ?

L’entreprise qui a su s’adapter aura forcément abordé les principes de transformation digitale dans l’ensemble de ces processus métier.

  • Quel bilan pouvons nous tirer depuis le début de la crise ?
  • Quelles évolutions des actions de transformation digitale dans les usages au sein de nos sociétés ?
  • A l’heure du Big Data, quelles sont les adaptations marketing adoptées par les entreprises ?

Africa Smart est invitée à prendre part aux panels de haut niveau pendant lesquels des experts internationaux et locaux viendront débattre sur ce thème de la dix-septième édition de la Semaine du Numérique.

Cette édition 2021 vise à développer les interactions entre les acteurs de l’écosystème autour de la problématique de la transformation digitale à l’ère Post COVID 19.

Placée sous le haut patronage de son Excellence Monsieur le Premier Ministre, Chef du gouvernement du Burkina Faso, cette manifestation annuelle offre l’opportunité aux acteurs de l’écosystème du numérique de présenter leurs produits et services tout en créant un cadre d’échanges et de discussions autour des spécialistes du numérique et des partenaires au développement. 

L’édition 2021 sera naturellement hybride, en ligne et / ou en présentiel sur le site de la maison de la culture de Bobo Dioulasso.

Les informations et documents utiles sont accessibles sur www.semainedunumérique.bf

Pour rappel des dates clés :

  • La cérémonie d’ouverture : 09 Novembre 2021  9 heures 00 UTC;
  • L’ensemble des sessions (Conférences, Foire, Salons, Soirées, B2B, etc..) Du 09 au 13 Novembre 2021 selon le programme disponible sur www.semainedunumerique.bf 
  • La cérémonie de clôture : 13 Novembre 2021 à 16 heures UTC.

Agenda @Africa Smart

Mercredi 10 Novembre 2021, 11h – 12h45 : Enjeux et défis de la transformation digitale.

Jeudi 11 Novembre 2021, 11h00 – 12h30 : Séance Démo de Startup dont les produits sont basés sur l’Open Source.

Une excellente séance dédiée à l’intelligence économique et numérique

Intelligence stratégique et numérique au menu du FFGI2021

Gouvernance de l’Internet : Existe t-il une spécificité francophone

Africa Smart, au cœur de la gouvernance de l'Internet au Burkina Faso

La 7ème édition de la Formation des Formateurs de la Gouvernance de l’Internet (FFGI)  se tiendra du 24 au 28 août 2021 exclusivement en hybride au regard de la situation que continue de nous imposer le COVID-19. 

 

Cette initiative est portée par l’ONG Initiative TIC et Citoyenneté (ITICC) en partenariat avec l’organisation Internationale de la Francophonie (OIF), l’Autorité de Régulation des Communications Electronique et des Postes (ARCEP) du Burkina Faso, l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), l’AFNIC (Association française de nommage internet en coopération), AFRINIC, UIT, ISOC, Smart Africa Secretariat à travers (SADA), CEDEAO, CCI-BF et bien d’autres partenaires.

Véritable formation des formateurs de l’Afrique francophone regroupant aussi bien des décideurs intervenant dans la formulation des politiques en matière de développement de l’économie numérique que des techniciens du domaine.

Les formateurs sont appelés à répéter la formation dans leur pays d’origine.

L’objectif final étant de créer une masse critique d’experts très avertis des questions de gouvernance de l’Internet et des systèmes d’information.

 

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Enseignement à distance

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Les périodes d’inscriptions préliminaires pour la collecte des candidatures ont permis de recueillir 417 candidatures dont les formations préliminaires sont en cours afin de sélectionner les 50 meilleures candidatures pour la suite. Les formations FFGI se tiendront du 24 au 28 Août 2021 en ligne et seront ponctuées de trois (03) évènements à savoir :

  • La cérémonie d’ouverture : 24 août 2021 à 9h UTC
  • Table ronde pour la définition de certificats de haut niveau pour la formation et de la mise en place d’un institut de formation continue en gouvernance de l’internet[1] en collaboration avec Smart Africa et d’autres partenaires : 28 août 2021 à 9h UTC
  • La cérémonie de clôture 28 Août 2021 à 14h UTC

 

Prenez part à ces 3 sessions en vous inscrivant à travers  ce lien.

Pour plus d’informations, veuillez consulter le site web. Vous pouvez également consulter ce lien pour tous les documents utiles qui sont disponibles. 

En cas d’intérêt partagé pour l’une des sessions du cours FFGI 2021 disponibles dans l’agenda des modules de cours, veuillez envoyer un courriel à contact@iticc.bf.  

Le FSDP met en place les indicateurs de développement des médias

Africa Smart développe, avec le FSDP, une soixantaine d'indicateurs de performance pour le secteur des médias ivoirien

Le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse, organe en charge de l’aide publique aux médias en Côte d’Ivoire, a réuni en atelier à Dabou, du 24 au 26 juin 2021,  53 opérateurs institutionnels, économiques et sociaux du secteur de la presse imprimée, de la presse numérique et de la presse audiovisuelle nationale, afin de valider des indicateurs pour l’évaluation du développement économique et l’effet des lois et règlements sur le développement des médias en Côte d’Ivoire.

Dabou du 24 au 26 juin 2021. Le FSDP met en place les indicateurs de développement des médias

Appuyées par Africa Smart, l’UNESCO, et MS International, les réflexions ont été conduites par un Comité scientifique composé des représentants :

  • du Ministre de l’Economie et des Finances ;
  • des Editeurs ;
  • de la Autorité Nationale de la Presse (A.N.P) ;
  • de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (H.A.C.A) ;
  • des Associations Professionnelles de Journalistes ;
  • de la direction exécutive du F.S.D.P

Les travaux se sont déroulés au sein de 2 commissions thématiques :

  • Africa Smart / MS International : Economique et financière
  • Africa Smart / UNESCO : Légal et règlementaire
économique et financier
Strates
0
Indicateurs
0
légaL et réglementaire
Strates
0
Indicateurs
0

Pour mémoire, le cadre pour l’évaluation des effets des lois et règlements et des effets économiques et financiers sur le développement des médias en Côte d’Ivoire s’appuie largement sur le référentiel international de l’UNESCO pour le développement des médias : Programme International pour le Développement de la Communication (PIDC).

En effet, conformément à son rôle normatif, le PIDC a mis au point un ensemble d’indicateurs de développement des médias (IDM), destinés à faciliter l’évaluation du paysage médiatique à l’échelle nationale. Ces indicateurs portent sur tous les aspects du développement des médias et définissent un cadre optimal pour que les médias puissent, à la fois, contribuer à la bonne gouvernance et au développement démocratique national.

Des travaux, également multipartites (F.S.D.P et Experts) ont permis de dégager un cadre d’évaluation de l’effet des lois et règlements sur le développement des médias, avec toujours une forte insistance sur la mise en exergue d’indicateurs, l’ensemble regroupé selon les catégories suivantes :

  • système de régulation favorable à la liberté d’expression, au pluralisme et à la diversité des médias : existence d’un cadre politique, légal, régulateur, fiscal et parafiscal qui protège et promeut la liberté d’expression et d’information, basé sur les modèles internationaux de bonnes pratiques et développé avec la participation de la société civile ;
  • pluralisme et diversité des médias, cadre économique dans lequel tous les acteurs sont en situation d’équité concurrentielle et transparence de la propriété : l’État promeut activement le développement du secteur des médias de manière à empêcher une concentration excessive et à garantir le pluralisme et la transparence de la propriété et du contenu dans tous les médias tant publics que privés et communautaires ;
  • médias en tant que plateforme pour un débat démocratique : les médias reflètent et représentent la diversité de points de vue et d’intérêts au sein de la société, y compris ceux des groupes marginalisés dans un climat où l’autorégulation et le respect du métier de journaliste prévalent. On observe un bon niveau de maîtrise de l’information et d’initiation aux médias.
Impact des médias de masse avec DMI

DMI et Africa Smart en stimulation des changements de comportement à travers les médias de masse

DMI est une ONG britannique à but non lucratif qui utilise la modélisation scientifique associée à des campagnes dans les médias pour sauver le plus grand nombre de vies.

DMI conçoit et met en œuvre des campagnes de télévision, de radio et de réseaux sociaux dans les pays en développement afin de promouvoir des comportements sains chez les publics cibles.
DMI se concentre actuellement sur la diffusion des messages qui permettraient de s’attaquer aux principales causes de décès dans les pays en voie de développement.

Les principaux domaines d’intervention de DMI sont :

  • Le planning familial
  • La survie maternelle
  • La survie du nouveau-né et de l’enfant
  • La nutrition
  • L’hygiène
  • Les maladies tropicales négligées
  • Le développement de la petite enfance

DMI mène des activités dans dix pays en Afrique y compris la Côte d’Ivoire où il travaille sur le développement de la petite enfance (DPE) qui est l’objet du projet ENFANCE.

@Africa Smart & le projet Enfance

Africa Smart accompagne AFRINIC sur le Salon de la Presse Numérique de Côte d’Ivoire

Afrinic et Africa Smart signent une convention de partenariat pour le Salon de la Presse Numérique de Côte d’Ivoire.

Salon de la Presse Numérique de Côte d'Ivoire

La première édition du Salon de la presse numérique et des Awards de Côte d’Ivoire (Sapnci 2020) initialement prévu du 26 au 27 février 2021, à Abidjan, se tiendra finalement les 29 et 30 avril.
 
Placé sous le thème de « L’impact de la presse numérique sur l’environnement écologique, économique et socio-politique en Côte d’Ivoire », le Sapnci qui vise à professionnaliser et à promouvoir le secteur des médias numériques en Côte d’Ivoire, entend contribuer, pour cette première édition, au renforcement de la cohésion sociale et l’instauration d’un environnement qui s’inscrit résolument dans le développement durable. 

 

Un continent

Un registre

Un Internet

La première édition du Salon de la presse numérique et des Awards de Côte d’Ivoire s’inscrit en prélude aux activités de Afrinic visant à la mise en œuvre d’un processus d’adhésion des établissements supérieurs publics à Afrinic, et présente une opportunité pour échanger avec des acteurs issus du monde institutionnel comme académique autour de conférences, d’expositions, et de rencontres d’affaires.

L’occasion est par ailleurs donnée de tisser des liens avec les acteurs de médias en vue d’une promotion accrue des activités d’Afrinic (African Network Information Centre), le registre régional d’adresses IP desservant l’Afrique, au SAPNCI.

Une des missions principales de Afrinic est de collaborer avec ses parties prenantes pour assurer la croissance durable d’un Internet stable, sécurisé et robuste en Afrique.

A cette fin, Afrinic s’engage auprès des secteurs public, civil et technique dans des dialogues et forums autour de ces questions.

Afrinic prendra un stand et participera, par la voie de son Community Development Manager, au panel sur la digitalisation au service de l’action gouvernementale.

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