La Commission Nationale de la Francophonie se dote d’une Bibliothèque Numérique

Africa Smart installe la Bibliothèque Numérique de la Commission Nationale de la Francophonie

La Commission Nationale de la Francophonie (CNF) vient de se doter d’un système d’information de type Bibliothèque répondant à ses exigences fonctionnelles, organisationnelles, et décisionnelles ;

L’accès à l’information et les moyens de communication contribuent à la santé et à l’éducation autant qu’au développement culturel et économique.  La dissémination de l’information permet aux citoyens de bénéficier d’une éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie. L’information sur les réalisations mondiales permet à chacun de participer de façon constructive au développement de leur propre environnement social.

Un accès équitable à l’héritage culturel et scientifique de la société est donc le droit de tout individu dans sa quête d’avancement de la connaissance. Les bibliothèques sont maintenant numériques et leurs services ouvrent un univers de savoir et d’information, reliant les cultures au delà des frontières géographiques et sociales.

Le système d’information envisagé se veut évolutif tout en demeurant financièrement maitrisable.  

Bibliothèque Numérique

Université Senghor

Une bibliothèque numérique est une collection en ligne d’objets numérisés, de grande qualité, qui est créée, rassemblée, gérée selon des principes reconnus pour le développement des collections et rendues accessible d’une manière cohérente et permanente, aidée par des services nécessaires à la recherche et à l’exploitation de ses ressources.

Une bibliothèque numérique permet à des bibliothèques publiques et de recherche de former un réseau d’information numérique en réponse aux besoins de la société de l’information.

L’Université Senghor, université internationale au service du développement africain, délocalise un ensemble d’activités au service de l’Afrique.

Ces Campus Senghor réalisent un ensemble de formations professionnalisantes dans les domaines de la gestion et du management des secteurs public et privé, de la santé publique, de l’environnement, de la culture et de l’éducation qui sont au cœur des compétences de l’Université.

Les Campus organisent des formations diplômantes (master) et des formations professionnelles courtes certifiées par l’Université.

Campus Senghor Côte d'Ivoire

Les Formations proposées

L’Université Senghor et la Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire (CNF), ont fondé le Campus Senghor en Côte d’Ivoire en janvier 2013, sous l′égide du Ministère de la Culture et de la Francophonie.

 

La Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire est le partenaire institutionnel de l’Université Senghor pour le Campus.

Elle assure la promotion et la communication du Campus ainsi que la coordination et l’organisation logistique de ses activités.

 

Conception @Africa Smart

A Retenir

Salle informatique équipée de :
- Tables ordinateur et chaises de bureau
- Vidéoprojecteur
- Ordinateurs de bureau haute performance
- Connexion Haut Débit
- Accès aux Ressources Educatives pour la Recherche

Pour la bonne réalisation du Projet, Africa Smart a déployé sa méthodologie basée sur :

  • les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
  • la maitrise des Technologies Open Source ;
  • une approche participative.

Le phasage projet s’est décliné selon :

  • L’identification des sources d’information numérique adéquates ;
  • La constitution de l’environnement pour rassembler les collections, les services et les ressources en soutien du cycle complet de la création, de la dissémination, de l’utilisation et de la préservation des données, de l’information et du savoir ;
  • L’accompagnement de la CNF dans le déploiement de l’infrastructure d’accueil inhérente.
.ci , Abidjan , Africa Smart , Afrique , AMOA , analyse , Assistance à maitrise d'ouvrage , audit , bibliothèque numérique , Big Data , Cadrage stratégique , Campus Senghor , CNF , Commission Nationale de la Francophonie , communication institutionnelle , Communication stratégique , Confiance numérique , Conseil en organisation , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , Doctorat , données massives , economie des medias , education , egouv , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Formation , francophone , Gouvernance , hub technologique , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , intermédiation , internet , législation , linux , lobbying , logiciel libre , Marketing , medias , Médias , Méthodologie , NTIC , Numérique , OIF , open source , OPENSOURCE , Organisation , Pilotage , plan d’accompagnement , Planification , prospective , REL , Responsabilité Sociale d'Entreprise , Ressources educatives libres , Scientifique , Sécurité , Souveraineté numérique , stratégie , Système d'Information , Technologies , travail collaboratif , Veille , Web
La Commission Nationale de la Francophonie se dote d’une Bibliothèque Numérique

Africa Smart installe la Bibliothèque Numérique de la Commission Nationale de la Francophonie

La Commission Nationale de la Francophonie (CNF) vient de se doter d’un système d’information de type Bibliothèque répondant à ses exigences fonctionnelles, organisationnelles, et décisionnelles ;

L’accès à l’information et les moyens de communication contribuent à la santé et à l’éducation autant qu’au développement culturel et économique.  La dissémination de l’information permet aux citoyens de bénéficier d’une éducation et de l’apprentissage tout au long de la vie. L’information sur les réalisations mondiales permet à chacun de participer de façon constructive au développement de leur propre environnement social.

Un accès équitable à l’héritage culturel et scientifique de la société est donc le droit de tout individu dans sa quête d’avancement de la connaissance. Les bibliothèques sont maintenant numériques et leurs services ouvrent un univers de savoir et d’information, reliant les cultures au delà des frontières géographiques et sociales.

Le système d’information envisagé se veut évolutif tout en demeurant financièrement maitrisable.  

Bibliothèque Numérique

Université Senghor

Une bibliothèque numérique est une collection en ligne d’objets numérisés, de grande qualité, qui est créée, rassemblée, gérée selon des principes reconnus pour le développement des collections et rendues accessible d’une manière cohérente et permanente, aidée par des services nécessaires à la recherche et à l’exploitation de ses ressources.

Une bibliothèque numérique permet à des bibliothèques publiques et de recherche de former un réseau d’information numérique en réponse aux besoins de la société de l’information.

L’Université Senghor, université internationale au service du développement africain, délocalise un ensemble d’activités au service de l’Afrique.

Ces Campus Senghor réalisent un ensemble de formations professionnalisantes dans les domaines de la gestion et du management des secteurs public et privé, de la santé publique, de l’environnement, de la culture et de l’éducation qui sont au cœur des compétences de l’Université.

Les Campus organisent des formations diplômantes (master) et des formations professionnelles courtes certifiées par l’Université.

Campus Senghor Côte d'Ivoire

Les Formations proposées

L’Université Senghor et la Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire (CNF), ont fondé le Campus Senghor en Côte d’Ivoire en janvier 2013, sous l′égide du Ministère de la Culture et de la Francophonie.

 

La Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire est le partenaire institutionnel de l’Université Senghor pour le Campus.

Elle assure la promotion et la communication du Campus ainsi que la coordination et l’organisation logistique de ses activités.

 

Conception @Africa Smart

A Retenir

Salle informatique équipée de :
- Tables ordinateur et chaises de bureau
- Vidéoprojecteur
- Ordinateurs de bureau haute performance
- Connexion Haut Débit
- Accès aux Ressources Educatives pour la Recherche

Pour la bonne réalisation du Projet, Africa Smart a déployé sa méthodologie basée sur :

  • les expériences du cabinet en matière d’élaboration des Plans de Développement Stratégique ;
  • la maitrise des Technologies Open Source ;
  • une approche participative.

Le phasage projet s’est décliné selon :

  • L’identification des sources d’information numérique adéquates ;
  • La constitution de l’environnement pour rassembler les collections, les services et les ressources en soutien du cycle complet de la création, de la dissémination, de l’utilisation et de la préservation des données, de l’information et du savoir ;
  • L’accompagnement de la CNF dans le déploiement de l’infrastructure d’accueil inhérente.
Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
.ci , Abidjan , Africa Open Innovation Summit , Africa Smart , Afrique , analyse , AOIS , ARTCI , Big Data , Business , CEDEAO , communication , communication institutionnelle , Confiance numérique , Côte d'Ivoire , Développement , Développement économique , DNS , DNSSEC , données massives , egouv , Entrepreunariat , Entreprise numerique , études , Formation , Gouvernance , Gouvernance Internet , hub technologique , incubateur , info , Information Technology , innovation , innovation ouverte , internet , IPv6 , IT , lobbying , Marketing , NTIC , Numérique , OIF , open source , OPENSOURCE , Organisation , Planification , prospective , regulation , Régulation des Telecoms , Scientifique , Sécurité , Souveraineté numérique , Start-Up , stratégie , Système d'Information , Technologies , Veille , Web
Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

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Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Gouvernance de l’Internet : Existe t-il une spécificité francophone

Africa Smart, au cœur de la gouvernance de l'Internet au Burkina Faso

La 7ème édition de la Formation des Formateurs de la Gouvernance de l’Internet (FFGI)  se tiendra du 24 au 28 août 2021 exclusivement en hybride au regard de la situation que continue de nous imposer le COVID-19. 

 

Cette initiative est portée par l’ONG Initiative TIC et Citoyenneté (ITICC) en partenariat avec l’organisation Internationale de la Francophonie (OIF), l’Autorité de Régulation des Communications Electronique et des Postes (ARCEP) du Burkina Faso, l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), l’AFNIC (Association française de nommage internet en coopération), AFRINIC, UIT, ISOC, Smart Africa Secretariat à travers (SADA), CEDEAO, CCI-BF et bien d’autres partenaires.

Véritable formation des formateurs de l’Afrique francophone regroupant aussi bien des décideurs intervenant dans la formulation des politiques en matière de développement de l’économie numérique que des techniciens du domaine.

Les formateurs sont appelés à répéter la formation dans leur pays d’origine.

L’objectif final étant de créer une masse critique d’experts très avertis des questions de gouvernance de l’Internet et des systèmes d’information.

 

Conception @Africa Smart

Processer

Enseignement à distance

Organiser

Les périodes d’inscriptions préliminaires pour la collecte des candidatures ont permis de recueillir 417 candidatures dont les formations préliminaires sont en cours afin de sélectionner les 50 meilleures candidatures pour la suite. Les formations FFGI se tiendront du 24 au 28 Août 2021 en ligne et seront ponctuées de trois (03) évènements à savoir :

  • La cérémonie d’ouverture : 24 août 2021 à 9h UTC
  • Table ronde pour la définition de certificats de haut niveau pour la formation et de la mise en place d’un institut de formation continue en gouvernance de l’internet[1] en collaboration avec Smart Africa et d’autres partenaires : 28 août 2021 à 9h UTC
  • La cérémonie de clôture 28 Août 2021 à 14h UTC

 

Prenez part à ces 3 sessions en vous inscrivant à travers  ce lien.

Pour plus d’informations, veuillez consulter le site web. Vous pouvez également consulter ce lien pour tous les documents utiles qui sont disponibles. 

En cas d’intérêt partagé pour l’une des sessions du cours FFGI 2021 disponibles dans l’agenda des modules de cours, veuillez envoyer un courriel à contact@iticc.bf.  

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Gouvernance de l’Internet : Existe t-il une spécificité francophone

Africa Smart, au cœur de la gouvernance de l'Internet au Burkina Faso

La 7ème édition de la Formation des Formateurs de la Gouvernance de l’Internet (FFGI)  se tiendra du 24 au 28 août 2021 exclusivement en hybride au regard de la situation que continue de nous imposer le COVID-19. 

 

Cette initiative est portée par l’ONG Initiative TIC et Citoyenneté (ITICC) en partenariat avec l’organisation Internationale de la Francophonie (OIF), l’Autorité de Régulation des Communications Electronique et des Postes (ARCEP) du Burkina Faso, l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), l’AFNIC (Association française de nommage internet en coopération), AFRINIC, UIT, ISOC, Smart Africa Secretariat à travers (SADA), CEDEAO, CCI-BF et bien d’autres partenaires.

Véritable formation des formateurs de l’Afrique francophone regroupant aussi bien des décideurs intervenant dans la formulation des politiques en matière de développement de l’économie numérique que des techniciens du domaine.

Les formateurs sont appelés à répéter la formation dans leur pays d’origine.

L’objectif final étant de créer une masse critique d’experts très avertis des questions de gouvernance de l’Internet et des systèmes d’information.

 

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Les périodes d’inscriptions préliminaires pour la collecte des candidatures ont permis de recueillir 417 candidatures dont les formations préliminaires sont en cours afin de sélectionner les 50 meilleures candidatures pour la suite. Les formations FFGI se tiendront du 24 au 28 Août 2021 en ligne et seront ponctuées de trois (03) évènements à savoir :

  • La cérémonie d’ouverture : 24 août 2021 à 9h UTC
  • Table ronde pour la définition de certificats de haut niveau pour la formation et de la mise en place d’un institut de formation continue en gouvernance de l’internet[1] en collaboration avec Smart Africa et d’autres partenaires : 28 août 2021 à 9h UTC
  • La cérémonie de clôture 28 Août 2021 à 14h UTC

 

Prenez part à ces 3 sessions en vous inscrivant à travers  ce lien.

Pour plus d’informations, veuillez consulter le site web. Vous pouvez également consulter ce lien pour tous les documents utiles qui sont disponibles. 

En cas d’intérêt partagé pour l’une des sessions du cours FFGI 2021 disponibles dans l’agenda des modules de cours, veuillez envoyer un courriel à contact@iticc.bf.  

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