Succès de la tournée d’AFRINIC à Abidjan

AFRINIC confie l'organisation du Jenga2022 Abidjan à Africa Smart

afrinic-news

Afrinic a renouvellé sa confiance à Africa Smart pour l’organisation du Jenga Tour Abidjan du 14 au 18 mars 2022.

Cette tournée s’est inscrite dans un contexte international de pandémie à Covid-19,  avec des perspectives incertaines, ayant cependant permis à Afrinic de démontrer de sa forte capacité de résilience et d’innovation, pour maintenir ses engagements et services auprès de ses membres en servant plus de 1 900 organisations sur le Continent, contribuant ainsi à connecter plus de 400 millions de nos concitoyens à Internet.

"Un Internet sécurisé et accessible pour une croissance numérique durable en Afrique"

Un continent

Un registre

Un Internet

L’histoire d’Afrinic démarre en 1997, avec pour ambition d’adapter les politiques d’allocation des ressources Internet aux réalités de l’Afrique.

En 2000, la création de l’AfNOG (le groupe des opérateurs de réseaux africains) et l’intégration des premiers observateurs d’AFRINIC à l’Address Supporting Organization Address Council (ASO AC) puis la nomination du premier conseil d’administration présidé par le Dr Nii Quaynor en 2001 viennent parachever le projet qui se concrétisera en 2005 par l’accréditation en tant que cinquième registre Internet régional de l’ICANN.

Afrinic est basé à Maurice avec des opérations réparties sur le Continent : Afrique du Sud, Egypte, et Ghana.

Sous la coordination et la supervision de Africa Smart, le Jenga CIV2022 aura permis à Afrinic de mieux faire connaitre l’organisation, au travers d’interviews, avant de rencontrer ses membres de la communauté nationale, les autorités gouvernemental au premier rang desquels, le Ministre en charge de l’Economie Numérique, ainsi que le régulateur sectoriel, mais également la communauté technique et les dirigeants d’entreprises, potentiels nouveaux membres d’Afrinic.

Conception@Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Organisé par Africa Smart, la mission de Afrinic s’est inscrite dans le cadre de la stratégie de développement de l’Internet en Afrique.

La délégation d’Afrinic, conduite par son Directeur Général, Eddy Kayihura, aura profité de son séjour pour partager, avec ses membres, ses actualités, activités et initiatives à l’endroit de la communauté nationale et, plus particulièrement, les enjeux liés à la sécurisation et la disponibilité des adresses IP.

Une tournée d’AFRINIC pour rassurer et se projeter

AFRINIC renouvelle sa confiance à Africa Smart

afrinic-news

Après avoir confié à Africa Smart l’organisation de sa participation au Salon de la Presse Numérique de Côte d’Ivoire, Afrinic renouvelle sa confiance en confiant au Cabinet l’organisation de sa tournée des membres.

Cette tournée s’inscrit dans un contexte international de pandémie à Covid-19,  avec des perspectives incertaines, ayant cependant permis à Afrinic de démontrer de sa forte capacité de résilience et d’innovation, pour maintenir ses engagements et services auprès de ses membres en servant plus de 1 900 organisations sur le Continent, contribuant ainsi à connecter plus de 400 millions de nos concitoyens à Internet.

"Un Internet sécurisé et accessible pour une croissance numérique durable en Afrique"

Un continent

Un registre

Un Internet

L’histoire d’Afrinic démarre en 1997, avec pour ambition d’adapter les politiques d’allocation des ressources Internet aux réalités de l’Afrique.

En 2000, la création de l’AfNOG (le groupe des opérateurs de réseaux africains) et l’intégration des premiers observateurs d’AFRINIC à l’Address Supporting Organization Address Council (ASO AC) puis la nomination du premier conseil d’administration présidé par le Dr Nii Quaynor en 2001 viennent parachever le projet qui se concrétisera en 2005 par l’accréditation en tant que cinquième registre Internet régional de l’ICANN.

Afrinic est basé à Maurice avec des opérations réparties sur le Continent : Afrique du Sud, Egypte, et Ghana.

Conception@Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Organisé par Africa Smart Africa Smart, la mission de Afrinic s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement de l’Internet en Afrique.

Une délégation d’Afrinic, conduite par son Directeur Général, Eddy Kayihura,
rencontrera, du 14 au 18 mars 2022, les autorités et membres de la communauté en Côte d’Ivoire et présentera ses actualités, activités et initiatives à l’endroit de la communauté nationale et, plus particulièrement, les enjeux liés à la sécurisation et la disponibilité des adresses IP.

Africa Smart, partenaire stratégique de la Journée Nationale de la Femme des Médias et dans les Médias

Africa Smart, Conseil Expert auprès du REFJPCI

La 1ère édition de la Journée Nationale des Femmes des Médias et dans les Médias (JNFM22), organisée par le Réseau des Femmes journalistes et des professionnelles de la communication (ReFJPCI) et l’Organisation des Femmes Reporters Photographes de Côte d’Ivoire (OFREP-CI), en partenariat avec le Fonds de Développement et de Soutien de la Presse (FSDP), se tiendra le 31 mars 2022 à ISTC-Polytechnique, l’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication.

La JNFM 2022 est placée sous la Co-présidence de la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et du Ministre de la Communication, des Médias et de la Francophonie.

Marraine de la 1ère édition: Madame Françoise REMARCK, Présidente du Conseil d’Administration de Canal + Côte d’Ivoire et de A+Ivoire.

Conférencière principale : Madame Anne LEMAISTRE, Cheffe du Bureau UNESCO – Abidjan.

 

Le REFJCI a fait confiance à Africa Smart, pour l’accompagnement à l’organisation de la première journée nationale des femmes de médias et dans les médias’’ :

  • Réflexion stratégique sur les thèmes ;
  • Planification, organisation et préparation des étapes intermédiaires ;
  • Définition de la stratégie de communication ;
  • Accompagnement opérationnel pour la mise en œuvre de la stratégie de communication ;
  • Conseil pour la mobilisation de ressources ;

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre, c’est pour cela que nous parlons d’un Nouvel Ordre Médiatique ». 

S.M. Agnès Kraidy

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Pourquoi agir ?

La JNFM22 se veut un espace d’échanges et de réflexion sur cette réalité, souvent occultée : la faible représentativité des femmes dans l’espace médiatique en général, et ivoirien en particulier.

Les femmes comptent à peine pour 20% des 959 professionnels référencés par la Commission paritaire d’attribution de la carte de journaliste professionnel et de professionnel de la communication (CIJP) en 2022 ; elles souffrent aussi d’une faible représentation aux postes de décisions dans les rédactions et institutions médiatiques. Ce qui ne leur permet pas d’impacter significativement la qualité et la quantité des informations consacrées au genre.

Il y a un réel décalage entre la place et l’image des femmes dans les médias et leur poids démographique et politique (pour la présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire, les femmes représentaient 52% de l’électorat). Les médias seraient-ils sexistes parce que la réalité l’est ? Si oui, les médias doivent-ils se contenter d’être le reflet de la société ?

Les médias participent de la construction d’images et de symboles renforçant la division du monde dans lequel ils évoluent. Or, nous constatons que l’image de la masculinité est associée à la politique, à l’économie, à la diplomatie, au sport… ; tandis que les femmes, quand elles sont visibles, ne sont ni porteuses d’une parole d’autorité, ni valorisée comme source d’informations crédibles.

Le rôle des médias dans la formation de l’opinion publique démocratique montre qu’ils peuvent et doivent participer à la réduction des inégalités liées aux stéréotypes basées sur le genre. Ils doivent amplifier le pluralisme dans la sphère publique en donnant, de manière équitable, la parole aux femmes et aux hommes.

Il s’agit donc de « repenser les pratiques journalistiques et de combattre les stéréotypes liés au genre », c’est pour cela que nous parlons d’un « Nouvel Ordre Médiatique ».

Les professionnels des médias doivent accepter leur responsabilité collective en tant que « quatrième pouvoir », participer à (re)mettre en question les conventions et les codes sociaux qui semblent aller de soi et participer à les réécrire.

Et comme le rappelle Joke Hermes (chercheure spécialisée dans le domaine des médias et de la culture populaire) : « la lutte contre les stéréotypes de genre n’est pas une simple question (d’un petit groupe) de femmes. Elle s’inscrit dans une problématique beaucoup plus large et est au cœur de la réalisation de la démocratie, par le biais de l’information et du débat public ».

Le FSDP invite la CEDEAO à se pencher sur l’aide publique aux médias

Africa Smart accompagne le FSDP dans l'organisation de son premier colloque international consacré à l'aide publique aux médias

Les Médias sont essentiels pour le fonctionnement des démocraties ; L’information permet au citoyen forger sa conscience et ses opinions, notamment au regard de la conduite des politiques publiques. Le pluralisme de l’information est une réalité dans la plupart des pays francophones et l’essor de la Télévision Numérique Terrestre vient renforcer cette dynamique. Pour autant, le secteur connait d’importantes difficultés depuis une dizaine d’années, obligeant les autorités publiques à créer des cadres institutionnels d’encadrement, de régulation et d’aide publique aux entreprises de médias. 

Malgré les efforts des gouvernements, le secteur reste structurellement déficitaire.

Par ailleurs, les mécanismes internationaux d’aides aux médias demeurent, pour la plupart, inconnus des potentiels bénéficiaires.

Confiance renouvelée

Après avoir fait confiance à Africa Smart pour conduire les réflexions relatives aux Indicateurs de Développement des Médias en Côte d’Ivoire, le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse réitère son engagement avec Africa Smart pour piloter, aux côtés de la Direction Exécutive, le bon accomplissement de son projet.

Le FSDP initie un colloque, sur le thème « Quelles stratégies d’appui durable au développement des médias dans l’espace CEDEAO ? » pour créer une synergie de réflexions et d’actions sur l’avenir des médias dans notre espace commun.

L’ambition est de mettre en place un réseau sous régional des organes en charge de l’aide publique aux médias.

 

Conception @Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Documenter

Toutes les infos du Colloque

[wp-rss-aggregator sources="39552"]
Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021

Africa Smart au Comité scientifique de AOIS

L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.

Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.

Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.

Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.

Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats. 

La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.

  • Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
  • Sur quels leviers agir pour la bâtir ?

Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Pourquoi les standards ouverts ?

Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.

Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique. 

Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.

Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique. 

Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Gouvernance de l’Internet : Existe t-il une spécificité francophone

Africa Smart, au cœur de la gouvernance de l'Internet au Burkina Faso

La 7ème édition de la Formation des Formateurs de la Gouvernance de l’Internet (FFGI)  se tiendra du 24 au 28 août 2021 exclusivement en hybride au regard de la situation que continue de nous imposer le COVID-19. 

 

Cette initiative est portée par l’ONG Initiative TIC et Citoyenneté (ITICC) en partenariat avec l’organisation Internationale de la Francophonie (OIF), l’Autorité de Régulation des Communications Electronique et des Postes (ARCEP) du Burkina Faso, l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), l’AFNIC (Association française de nommage internet en coopération), AFRINIC, UIT, ISOC, Smart Africa Secretariat à travers (SADA), CEDEAO, CCI-BF et bien d’autres partenaires.

Véritable formation des formateurs de l’Afrique francophone regroupant aussi bien des décideurs intervenant dans la formulation des politiques en matière de développement de l’économie numérique que des techniciens du domaine.

Les formateurs sont appelés à répéter la formation dans leur pays d’origine.

L’objectif final étant de créer une masse critique d’experts très avertis des questions de gouvernance de l’Internet et des systèmes d’information.

 

Conception @Africa Smart

Processer

Enseignement à distance

Organiser

Les périodes d’inscriptions préliminaires pour la collecte des candidatures ont permis de recueillir 417 candidatures dont les formations préliminaires sont en cours afin de sélectionner les 50 meilleures candidatures pour la suite. Les formations FFGI se tiendront du 24 au 28 Août 2021 en ligne et seront ponctuées de trois (03) évènements à savoir :

  • La cérémonie d’ouverture : 24 août 2021 à 9h UTC
  • Table ronde pour la définition de certificats de haut niveau pour la formation et de la mise en place d’un institut de formation continue en gouvernance de l’internet[1] en collaboration avec Smart Africa et d’autres partenaires : 28 août 2021 à 9h UTC
  • La cérémonie de clôture 28 Août 2021 à 14h UTC

 

Prenez part à ces 3 sessions en vous inscrivant à travers  ce lien.

Pour plus d’informations, veuillez consulter le site web. Vous pouvez également consulter ce lien pour tous les documents utiles qui sont disponibles. 

En cas d’intérêt partagé pour l’une des sessions du cours FFGI 2021 disponibles dans l’agenda des modules de cours, veuillez envoyer un courriel à contact@iticc.bf.  

Le FSDP met en place les indicateurs de développement des médias

Africa Smart développe, avec le FSDP, une soixantaine d'indicateurs de performance pour le secteur des médias ivoirien

Le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse, organe en charge de l’aide publique aux médias en Côte d’Ivoire, a réuni en atelier à Dabou, du 24 au 26 juin 2021,  53 opérateurs institutionnels, économiques et sociaux du secteur de la presse imprimée, de la presse numérique et de la presse audiovisuelle nationale, afin de valider des indicateurs pour l’évaluation du développement économique et l’effet des lois et règlements sur le développement des médias en Côte d’Ivoire.

Dabou du 24 au 26 juin 2021. Le FSDP met en place les indicateurs de développement des médias

Appuyées par Africa Smart, l’UNESCO, et MS International, les réflexions ont été conduites par un Comité scientifique composé des représentants :

  • du Ministre de l’Economie et des Finances ;
  • des Editeurs ;
  • de la Autorité Nationale de la Presse (A.N.P) ;
  • de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (H.A.C.A) ;
  • des Associations Professionnelles de Journalistes ;
  • de la direction exécutive du F.S.D.P

Les travaux se sont déroulés au sein de 2 commissions thématiques :

  • Africa Smart / MS International : Economique et financière
  • Africa Smart / UNESCO : Légal et règlementaire
économique et financier
Strates
0
Indicateurs
0
légaL et réglementaire
Strates
0
Indicateurs
0

Pour mémoire, le cadre pour l’évaluation des effets des lois et règlements et des effets économiques et financiers sur le développement des médias en Côte d’Ivoire s’appuie largement sur le référentiel international de l’UNESCO pour le développement des médias : Programme International pour le Développement de la Communication (PIDC).

En effet, conformément à son rôle normatif, le PIDC a mis au point un ensemble d’indicateurs de développement des médias (IDM), destinés à faciliter l’évaluation du paysage médiatique à l’échelle nationale. Ces indicateurs portent sur tous les aspects du développement des médias et définissent un cadre optimal pour que les médias puissent, à la fois, contribuer à la bonne gouvernance et au développement démocratique national.

Des travaux, également multipartites (F.S.D.P et Experts) ont permis de dégager un cadre d’évaluation de l’effet des lois et règlements sur le développement des médias, avec toujours une forte insistance sur la mise en exergue d’indicateurs, l’ensemble regroupé selon les catégories suivantes :

  • système de régulation favorable à la liberté d’expression, au pluralisme et à la diversité des médias : existence d’un cadre politique, légal, régulateur, fiscal et parafiscal qui protège et promeut la liberté d’expression et d’information, basé sur les modèles internationaux de bonnes pratiques et développé avec la participation de la société civile ;
  • pluralisme et diversité des médias, cadre économique dans lequel tous les acteurs sont en situation d’équité concurrentielle et transparence de la propriété : l’État promeut activement le développement du secteur des médias de manière à empêcher une concentration excessive et à garantir le pluralisme et la transparence de la propriété et du contenu dans tous les médias tant publics que privés et communautaires ;
  • médias en tant que plateforme pour un débat démocratique : les médias reflètent et représentent la diversité de points de vue et d’intérêts au sein de la société, y compris ceux des groupes marginalisés dans un climat où l’autorégulation et le respect du métier de journaliste prévalent. On observe un bon niveau de maîtrise de l’information et d’initiation aux médias.
Développement des médias en Côte d’Ivoire : vers la création d’indicateurs de développement

La politique publique d’aide au secteur des médias privés a connu une amorce à l’aube de la décennie 90. L’Etat, reconnaissant le rôle fondamental de ce secteur dans la promotion de la Démocratie, a consacré des budgets conséquents visant à permettre aux entreprises de presse privée de vivre, se développer et se professionnaliser.

L’organe en charge de l’aide publique au médias, le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse (FSDP), intervient depuis 2009. 

Dix années après sa création, ce sont plus de dix (10) milliards de FCFA de soutien qui auront été octroyés au secteur en vue de sa structuration et son développement.

Le Fonds de Soutien et de Développement de la Presse a jugé opportun de faire un bilan, empreint de vision prospectiviste, sur le thème de la mise en place d’un cadre d’évaluation du développement des médias en Côte d’Ivoire (Indicateurs de développement des médias et critères de performance des entreprises du secteur des médias).

Aussi, afin de parvenir à la mise en œuvre de ce cadre, le FSDP a sollicité l’expertise de Africa Smart pour ses conseils et ses orientations.

Les axes majeurs déterminés ont fait l’objet de séquences distinctes de réflexions et d’évaluations :

  • Axe légal et règlementaire ;
  • Axe économique et financier.

S’appuyant sur le référentiel international de l’UNESCO pour le développement des médias, l’atelier a eu pour objectif d’identifier les défis et les opportunités générés par l’évolution rapide de l’environnement médiatique ;

Le Programme international pour le développement de la communication (PIDC), conformément à son rôle normatif, développe un ensemble détaillé d’indicateurs de développement des médias destinés à faciliter l’évaluation du paysage médiatique à l’échelle nationale.

Ces indicateurs, qui portent sur tous les aspects du développement des médias, sont actuellement mis en application dans plusieurs pays à travers le monde pour identifier les besoins spécifiques nationaux.

Thème : Mise en place d’un cadre d’évaluation du développement des médias en Côte d’Ivoire ; Définition des critères de performance économique des entreprises du secteur des médias.
Lieu : Jacqueville, Côte d’Ivoire
 
Régulation des médias en Côte d’Ivoire
Revivez le #Webinaire #AWF2020 du Mercredi 9 septembre 2020 consacré au rôle des autorités de régulation des médias dans la lutte contre les infox en période sensible.
Thème : L’impact du traitement de l’information par les médias audiovisuels dans le cadre de la lutte contre la pandémie de COVID-19 : le rôle de la HACA dans le contrôle des infox avec Monsieur Siméon KONE, Directeur des Affaires juridiques de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA)
Aller au contenu principal