Category Régulation des Telecoms

Groupe Africa Smart lance Minut’Med, émission didactique d’éducation aux médias en Côte d’Ivoire
Les femmes de Divo formées au marketing digital

Groupe Africa Smart (ASG) à Divo pour la formation organisée par Faki Technology

La présidente sortante de la Fédération des associations et organisations féminines de Divo (FAOFDI), Assouan Bonon Elisabeth, épouse Wagala, s’est engagée à mettre en priorité de son programme d’actions l’autonomisation financière des femmes de son organisation, à travers des stratégies nouvelles.

Ainsi, à l’initiative de Faki Technology, une formation en alphabétisation et marketing digital a été organisée à Divo ( Lôh-Djiboua) pour une vingtaine d’associations, représentatives des 215 associations de femmes du département.

Alphabétisation numérique et Marketing digital

Hadja Fatimata Ouattara & Nnenna Nwakanma

Les Formatrices

Deux femmes d'exception qui ont animé, les 09 et 10 octobre 2024, la formation à Divo

Audrey Bamba

Consultante Groupe Africa Smart

Epaulées par Audrey Bamba, Consultante du Groupe Africa Smart

Les bénéficiaires

Fédération des associations et organisations féminines de Divo (FAOFDI)

Divo présente un potentiel économique significatif mais également des défis en termes d’autonomisation des femmes et de développement économique inclusif. La création d’un centre d’incubation pour l’autonomisation et l’entrepreneuriat des femmes vise à apporter une réponse concrète à ces défis en offrant des opportunités de formation, d’accès à l’information et aux ressources, ainsi qu’en encourageant l’entrepreneuriat féminin dans des secteurs clés tels que la transformation de matières premières locales, l’inclusion financière et le marketing digital.

Afin de promouvoir l’autonomisation économique des femmes Groupe Africa Smart a accompagné son partenaire, Faki Technology, dans l’organisation de formations visant à :

  • Assurer la prise de parole en public
  • Créer la cohésion au sein des apprenantes
  • Découvrir les téléphones intelligents et en maîtriser les fonctions clé
  • Découvrir la communication digitale et l’identité numérique
  • Apprendre les règles de gestion communautaires en ligne
  • Se familiariser avec 3 grandes plateformes de médias sociaux adaptés
  • Se prémunir des dangers en ligne
  • Déployer son commerce en ligne
  • Assurer la relation client

Conception @Africa Smart

Processer

Collaborer

Former

Documenter

Africa Smart, architecte du nouveau site web de la Commission Nationale de la Francophonie

Africa Smart conçoit le nouveau site web de la CNF www.francophonie.ci

Dans un monde numérique en constante évolution, une communication efficace passe par une présence en ligne fluide et engageante.

En tant qu’entreprise innovante, Africa Smart a eu le privilège et le plaisir d’accompagner la Commission Nationale de la Francophonie de Côte d’Ivoire (CNF-CI) dans leur projet de modernisation de site web.

L’objectif était d’offrir un nouveau visage à la plateforme numérique de la Commission afin de renforcer son accessibilité et améliorer sa visibilité auprès du grand public.

Cette collaboration est le reflet de notre engagement à soutenir les organisations nationales comme internationales dans leur transition numérique.

Le projet de refonte du site web de la CNF a visé plusieurs objectifs clés :

  • Actualisation de la plateforme : Mettre à jour le site pour qu’il réponde aux standards technologiques internationaux, tout en reflétant les valeurs de la Commission.
  • Amélioration de l’expérience utilisateur : Créer une interface ergonomique plus intuitive afin de naviguer facilement et accéder rapidement aux informations.
  • Optimisation pour les appareils mobiles : Assurer que le site soit totalement responsive, offrant ainsi une expérience fluide en mobilité.
  • Renforcement de la visibilité en ligne : Optimiser le site pour le référencement organique  afin que la CNF soit accessible à une plus large audience.

Conception @Africa Smart

Processer

Collaborer

Former

Documenter

Africa Smart accompagne Ylancia Conseil dans l’étude TechEmerge Health West Africa

Africa Smart pilote les volets General Overview et Healthcare Technology landscape du TechEmerge Research Côte d'Ivoire et Sénégal

TechEmerge est un programme primé de la Société financière internationale (IFC) qui accélère l’adoption de l’innovation en mettant en relation des innovateurs du monde entier avec des entreprises et des organisations de premier plan sur les marchés émergents pour piloter des technologies et des services et des technologies révolutionnaires.

Ylancia Conseil, société de conseil pour le développement des entreprises de santé en Afrique subsaharienne, a confié à Africa Smart la rédaction des volets principaux de l’étude TechErmerge Health pour la Côte d’Ivoire et le Sénégal.

Il s’est spécifiquement agi de :

  1. Collecter et traiter les informations relatives aux deux pays, dans leurs dimensions sociales, économiques et technologiques ;
  2. Qualifier le paysage ivoiriens et sénégalais de la santé numérique ;
  3. Identifier des partenaires potentiels au programme TechEmerge West Africa sur les deux pays cible.
Africa Smart déploie le DNSSEC sur le ccTLD ivoirien

Africa Smart implémente le DNSSEC sur les serveurs du ccTLD.ci

Africa Smart exécute pour le compte de l’ARTCI les prestations relatives à l’implémentation de la technologie DNSSEC sur les serveurs de noms de domaine de premier niveau de la Côte d’Ivoire (CCTLD.CI) qui devront permettre la signature de la zone « .CI » .

Succès de la tournée d’AFRINIC à Abidjan

AFRINIC confie l'organisation du Jenga2022 Abidjan à Africa Smart

afrinic-news

Afrinic a renouvellé sa confiance à Africa Smart pour l’organisation du Jenga Tour Abidjan du 14 au 18 mars 2022.

Cette tournée s’est inscrite dans un contexte international de pandémie à Covid-19,  avec des perspectives incertaines, ayant cependant permis à Afrinic de démontrer de sa forte capacité de résilience et d’innovation, pour maintenir ses engagements et services auprès de ses membres en servant plus de 1 900 organisations sur le Continent, contribuant ainsi à connecter plus de 400 millions de nos concitoyens à Internet.

"Un Internet sécurisé et accessible pour une croissance numérique durable en Afrique"

Un continent

Un registre

Un Internet

L’histoire d’Afrinic démarre en 1997, avec pour ambition d’adapter les politiques d’allocation des ressources Internet aux réalités de l’Afrique.

En 2000, la création de l’AfNOG (le groupe des opérateurs de réseaux africains) et l’intégration des premiers observateurs d’AFRINIC à l’Address Supporting Organization Address Council (ASO AC) puis la nomination du premier conseil d’administration présidé par le Dr Nii Quaynor en 2001 viennent parachever le projet qui se concrétisera en 2005 par l’accréditation en tant que cinquième registre Internet régional de l’ICANN.

Afrinic est basé à Maurice avec des opérations réparties sur le Continent : Afrique du Sud, Egypte, et Ghana.

Sous la coordination et la supervision de Africa Smart, le Jenga CIV2022 aura permis à Afrinic de mieux faire connaitre l’organisation, au travers d’interviews, avant de rencontrer ses membres de la communauté nationale, les autorités gouvernemental au premier rang desquels, le Ministre en charge de l’Economie Numérique, ainsi que le régulateur sectoriel, mais également la communauté technique et les dirigeants d’entreprises, potentiels nouveaux membres d’Afrinic.

Conception@Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Organisé par Africa Smart, la mission de Afrinic s’est inscrite dans le cadre de la stratégie de développement de l’Internet en Afrique.

La délégation d’Afrinic, conduite par son Directeur Général, Eddy Kayihura, aura profité de son séjour pour partager, avec ses membres, ses actualités, activités et initiatives à l’endroit de la communauté nationale et, plus particulièrement, les enjeux liés à la sécurisation et la disponibilité des adresses IP.

Une tournée d’AFRINIC pour rassurer et se projeter

AFRINIC renouvelle sa confiance à Africa Smart

afrinic-news

Après avoir confié à Africa Smart l’organisation de sa participation au Salon de la Presse Numérique de Côte d’Ivoire, Afrinic renouvelle sa confiance en confiant au Cabinet l’organisation de sa tournée des membres.

Cette tournée s’inscrit dans un contexte international de pandémie à Covid-19,  avec des perspectives incertaines, ayant cependant permis à Afrinic de démontrer de sa forte capacité de résilience et d’innovation, pour maintenir ses engagements et services auprès de ses membres en servant plus de 1 900 organisations sur le Continent, contribuant ainsi à connecter plus de 400 millions de nos concitoyens à Internet.

"Un Internet sécurisé et accessible pour une croissance numérique durable en Afrique"

Un continent

Un registre

Un Internet

L’histoire d’Afrinic démarre en 1997, avec pour ambition d’adapter les politiques d’allocation des ressources Internet aux réalités de l’Afrique.

En 2000, la création de l’AfNOG (le groupe des opérateurs de réseaux africains) et l’intégration des premiers observateurs d’AFRINIC à l’Address Supporting Organization Address Council (ASO AC) puis la nomination du premier conseil d’administration présidé par le Dr Nii Quaynor en 2001 viennent parachever le projet qui se concrétisera en 2005 par l’accréditation en tant que cinquième registre Internet régional de l’ICANN.

Afrinic est basé à Maurice avec des opérations réparties sur le Continent : Afrique du Sud, Egypte, et Ghana.

Conception@Africa Smart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Organisé par Africa Smart Africa Smart, la mission de Afrinic s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement de l’Internet en Afrique.

Une délégation d’Afrinic, conduite par son Directeur Général, Eddy Kayihura,
rencontrera, du 14 au 18 mars 2022, les autorités et membres de la communauté en Côte d’Ivoire et présentera ses actualités, activités et initiatives à l’endroit de la communauté nationale et, plus particulièrement, les enjeux liés à la sécurisation et la disponibilité des adresses IP.

Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021

Africa Smart au Comité scientifique de AOIS

L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.

Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.

Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.

Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.

Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats. 

La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.

  • Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
  • Sur quels leviers agir pour la bâtir ?

Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Pourquoi les standards ouverts ?

Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.

Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique. 

Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.

Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique. 

Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Une excellente séance dédiée à l’intelligence économique et numérique

Intelligence stratégique et numérique au menu du FFGI2021

Aller au contenu principal