Action RSE – La SODECI veut offrir un Centre de la Petite Enfance au village de Logbanasso

La cérémonie officielle de pose de la première pierre du Centre de la Petite Enfance du village de Logbanasso dans le Département d’Odienné, s’est tenue le jeudi 22 février 2024, en présence de M. René Kouamé FAMI (Préfet de la Région du Kabadougou, Préfet du Département d’Odiénné), de M. Bacongo CISSÉ (1er Adjoint au Maire d’Odienné), de M. Vamoyabi TOURÉ (Directeur Régional au Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant d’Odienné), de Mme Léontine KOFFI (Directeur Adjoint du Développement Durable, représentant le Directeur Général de la SODECI), de M. Daouda FOFANA (Sous-Directeur Audits, Développement Local, Reporting RSE), de M. Samuel BEUGRÉ (Assistant d’Exploitation, représentant le Directeur Régional de la SODECI de Korhogo), de M. Yves MIÉZAN-EZO Directeur Général du Cabinet Africa Smart qui accompagne la SODECI, de Mme Madégbé TRAORÉ (Présidente des femmes du village), des Autorités coutumières et religieuses, de la jeunesse de Logbanasso et des collaborateurs SODECI et CIE des Directions Régionales de Korhogo.

Mme Léontine KOFFI a dans son message, présenté le cadre de la réalisation de cette action de portée sociétale de la SODECI, au profit du bien-être des tout-petits. MM. Vamoyabi TOURÉ et René Kouamé FAMI ont respectivement exprimé leur gratitude à la Direction Générale de la SODECI et salué l’initiative.

Après la phase des allocutions, les officiels ont procédé à la pose de la première pierre du Centre de la Petite Enfance de Logbanasso.

Le premier Centre de Développement de la Petite Enfance de la SODECI sera bâti à Kong

En souhaitant agir sur ses piliers fondamentaux que sont le développement de proximité pour améliorer durablement les conditions de vie des communautés et à les accompagner pour leur autonomisation économique et financière et l’éducation et le renforcement des conditions d’apprentissage des populations bénéficiaires de ses services, la SODECI a commandité à Africa Smart une étude relative à la potentielle intégration d’une politique de Développement de la Petite Enfance au sein de sa démarche de Responsabilité Sociétale.

Fort des résultats pertinents obtenus, la SODECI a décidé d’offrir un Centre de la Petite Enfance dans plusieurs villes de Côte d’Ivoire, pour que chaque enfant naisse et grandisse en bonne santé, ait accès à l’eau, à un environnement propre, et à l’éducation, où qu’il soit et d’où qu’il vienne. 

A Kong, ville d’implantation du premier centre, la cérémonie de pose de la première pierre s’est déroulée le jeudi 13 juillet 2023, en présence de M. Serge Pacôme Koré IBO, Sous-Préfet de Nafana (représentant le Préfet de Kong), de M. Aboubakary BARRO, Maire de Kong, de Mme Yolande KOUAMÉ, Directrice Régionale du Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant de Ferkessédougou, de Mme Léontine KOFFI, Directeur Adjoint Développement Durable, représentant du Directeur Général de la SODECI, de M. Daouda FOFANA, Sous-Directeur Audits, Développement Local et Reporting RSE de la SODECI, de M. Youssouf COULIBALY, Directeur Régional Nord de la SODECI (Korhogo), des Autorités coutumières et religieuses, et de M. Yves MIEZAN-EZO, Directeur Général de Africa Smart, le prestataire qui accompagne la SODECI.

Lors de cette cérémonie, Mme Léontine KOFFI représentant le Directeur Général de la SODECI, a relevé l’intérêt particulier du Directeur Général de la SODECI, M. Ahmadou BAKAYOKO, pour le bien-être et le développement harmonieux des enfants. A sa suite, Mme Yolande KOUAMÉ, a remercié les donateurs et souligné que ce don vient à point nommé, telle une bouffée d’oxygène pour son département ministériel. Quant au Sous-Préfet de Nafana, il a encouragé la SODECI à poursuivre de telles actions citoyennes.

Le centre sera bâti sur un terrain de de 403 m² et sera composé d’un espace d’accueil, un bureau, une salle de vie aménagée, deux salles de repos, un espace de change-bébés équipé, un coin cuisine assorti de réfectoire et un aire de jeu extérieure. Il servira également de centre d’éveil pour les enfants de 0 à 4 ans et de salle d’alphabétisation pour les femmes.

Après les allocutions, les officiels ont procédé à la pose de la première pierre du Centre de la Petite Enfance de Kong.

Une campagne radio de près de 30.000 spots gérée pour le PMNDPE

Vingt radios de proximité diffusent les spots Africa Smart

Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan National Multisectoriel de Nutrition (PNMN) 2016-2020, le Projet Multisectoriel de Nutrition et de Développement de la Petite Enfance (PMNDPE) cible les enfants de moins de cinq ans, les femmes en âge de procréer et les adolescentes pour accroître la couverture des interventions de nutrition et de Développement de la Petite Enfance dans 14 régions (Poro, Tchologo, Bagoué, Bounkani, Gontougo, Kabadougou, Folon, Bafing, Worodougou, Béré, Haut-Sassandra, Marahoué, Iffou, et Bélier) de la Côte d’Ivoire.

Le PMNDPE travaille avec les administrations décentralisées et des ONG et, souhaitant renforcer sa présence communicationnelle et institutionnelle auprès de ses cibles, a confié à Africa Smart, via la société Tabala, la conception, la réalisation et la gestion d’une campagne de communication multimodale.

Les enjeux du projet ont été de :

  • Renforcer, à travers une campagne multimédia, les interventions de communication pour le changement des normes sociales et des comportements en matière de nutrition et de DPE auprès des communautés dans les 14 régions du projet, en augmentant sa visibilité et sa notoriété auprès des populations cible et du grand public ;
  • Accompagner la mise en œuvre d’une campagne multimédia nationale focalisée sur la création des soins parentaux attentifs aux jeunes enfants, via la stimulation, l’éveil précoce et la discipline positive ;
  • Rédiger des scripts pour la nutrition et le DPE en se basant sur des recherches formatives et des modèles scientifiques éprouvés ;
  • Créer et produire les messages multi-supports de sensibilisation pour la nutrition et le Développement de la Petite Enfance ;
  • Mener les campagnes média dans les 14 zones d’intervention du PMNDPE.

Ainsi, plusieurs missions ont été réalisées en vue d’identifier les logiques sociales qui freinent ou facilitent l’amélioration des comportements parentaux en matière de nutrition infantile et le développement de la petite enfance en Côte d’Ivoire.

Ce projet s’inscrit dans la continuité du programme Enfance, mené par DMI et TRECC entre 2019 et 2021, pour le gouvernement de Côte d’Ivoire (SE CONNAPE) pour développer et tester des spots radio promouvant les comportements de DPE. L‘Unité de Gestion Projet du CONNAPE, le PMNDPE, a capitalisé sur ces investissements en déployant les interventions radiophoniques dans ses régions cibles. 

 

Les acquis

  • Près de 30.000 diffusions de spots, en Français, Baoulé, Bété, Koulango, Malinké, Sénoufo, Yacouba et Gouro, depuis le début de la campagne radiophonique, en avril 2023, à raison de 10 spots par jour auprès de 20 radios ;
  • Qu’il s’agisse des autorités administratives locales, des diffuseurs ou de l’auditoire, tous les partenaires au Projet marquent leur entière satisfaction quant aux opérations menées par le PMNDPE, par le biais de Africa Smart, quant à la diffusion et à la qualité des messages passés ;
  • Les communautés bénéficiaires, notamment dans les FRANC confirment l’écoute et l’intérêt des messages diffusés autour de la nutrition et du DPE, au motif qu’ils sont d’importance, à la fois pour elles mais également pour les jeunes générations ;
  • Tous les partenaires ont exprimé un fort souhait pour la continuité des interventions du PMNDPE.
  • 20 radios homologuées ont été retenues dans les 14 régions que couvre le PMNDPE ;
  • 10 spots ont été diffusés en 8 langues, à raison de 2 spots par mois, soit près de 30.000 diffusions sur l’ensemble  de la campagne.
  • Africa Smart a également conçu et produit les spots vidéo qui seront diffusés prochainement sur les chaînes de télévision ivoiriennes et au sein des Foyers de Renforcement des Activités de Nutrition Communautaire ( FRANC), pour une portée éducative améliorée.

Retrouvez les spots radio

 

Le Chef de Projet PMNDPE a dit toutes ses sincères félicitations pour la bonne coordination de cette activité qui, assurément, produira des résultats forts bien intéressants et mutuellement bénéfiques pour les deux structures.

Africa Smart recrute un Ingénieur Commercial

RECRUTEMENT

INGENIEUR COMMERCIAL – COMMERCIAL

Africa Smart, Cabinet de Conseil indépendant en économie des médias et économie numérique, recrute un Commercial, entreprenant et motivé ayant le talent et les compétences pour l’accompagner dans sa dynamique de croissance.

PRINCIPALES MISSIONS ET ACTIVITÉS

  • Prospecter activement les clients potentiels ;
  • Construire les réponses aux appels d’offres et réaliser le montage des dossiers ;
  • Défendre vos offres et assurer les phases de négociation jusqu’à la signature du contrat ;
  • Développer, fidéliser et entretenir votre portefeuille clients ;
  • Identifier les partenaires techniques aux différents projets soutenus.

COMPÉTENCES CLÉS

  • Connaissance fonctionnelle et technique des métiers de la communication et des médias
  • Fortes capacités rédactionnelles et relationnelles ;
  • Savoir vulgariser des concepts techniques en messages simples ;
  • Esprit d’analyse et de synthèse ;
  • Qualité d’écoute, de rigueur, d’autonomie
  • Aimer convaincre et être à l’aise socialement.

FORMATION ET EXPÉRIENCES

  • Formation Bac +3 minimum en commerce, communication ou métiers du numérique ;
  • Avoir au moins 3 ans d’expérience dans le domaine de la vente directe B2B dans un cabinet de conseil, de formation, ou un domaine connexe.

 

DEPOSER VOTRE CANDIDATURE

  • Lettre de motivation et Curriculum-Vitae à recrutement [at] africasmart [dot] org
  • 🗓Deadline : 17 février 2023
Les modules de formation d’Africa Smart dispensés à l’ISTC Polytechnique d’Abidjan

ISTC Polytechnique fait confiance à Africa Smart pour délivrer les cours d'entreprenariat

La Côte d’Ivoire peut, avec fierté, revendiquer les nombreux progrès réalisés dans le domaine de la communication et des médias. Le secteur connait un développement conséquent depuis de la décennie 90, en réponse aux besoins exprimés par les acteurs du secteur des médias privés et du fait de la reconnaisse par l’Etat du rôle de ce secteur dans la promotion de la Démocratie.

L’Institut Polytechnique des Sciences et Techniques de la Communication est, sans nul doute, au cœur de ce progrès, formant depuis près de trente ans, le citoyen de demain en lui donnant les clés d’accès et de réussite dans un monde professionnel en mutation permanente.

Pour développer plus avant sa proposition de valeur au service des acteurs du secteur, et envisager sereinement les évolutions et mutations technologiques en cours, Africa Smart accompagne l’ISTC Polytechnique dans l’encadrement et la formation des apprenants, dans ses aspects Economie des Médias et Economie Numérique, avec l’ambition, à terme de sensibiliser les futurs diplômés à une démarche prospective visant à former les managers de demain.

Africa Smart accompagne Ylancia Conseil dans l’étude TechEmerge Health West Africa

Africa Smart pilote les volets General Overview et Healthcare Technology landscape du TechEmerge Research Côte d'Ivoire et Sénégal

TechEmerge est un programme primé de la Société financière internationale (IFC) qui accélère l’adoption de l’innovation en mettant en relation des innovateurs du monde entier avec des entreprises et des organisations de premier plan sur les marchés émergents pour piloter des technologies et des services et des technologies révolutionnaires.

Ylancia Conseil, société de conseil pour le développement des entreprises de santé en Afrique subsaharienne, a confié à Africa Smart la rédaction des volets principaux de l’étude TechErmerge Health pour la Côte d’Ivoire et le Sénégal.

Il s’est spécifiquement agi de :

  1. Collecter et traiter les informations relatives aux deux pays, dans leurs dimensions sociales, économiques et technologiques ;
  2. Qualifier le paysage ivoiriens et sénégalais de la santé numérique ;
  3. Identifier des partenaires potentiels au programme TechEmerge West Africa sur les deux pays cible.
Le groupement Africa Smart – MS International mis en mission « IDM Côte d’Ivoire » par le FSDP

Africa Smart développe les Indicateurs de Développement des Médias Côte d'Ivoire

L’objectif général de la mission  confiée au groupement Africa Smart / MS International est d’évaluer le développement du secteur des médias en 2022.

De façon spécifique, il s’agit de:

  1. Collecter et traiter les informations nécessaires au calcul des indicateurs.
  2. Donner une valeur aux 67 indicateurs.
  3. Analyser et commenter les indicateurs.

Les travaux seront réalisés en 4 mois avec l’organe en charge de l’aide publique aux médias, FSDP devenant ASDM, et les acteurs du secteur des médias.

économique et financier
Strates
0
Indicateurs
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légaL et réglementaire
Strates
0
Indicateurs
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Nouvelle collaboration Africa Smart – Africa Radio pour le développement d’une émission thématique

Africa Radio confie à Africa Smart la conception de son dossier d'émission thématique

AFRICA RADIO renouvelle sa confiance à Africa Smart pour l’appui à la production d’un dossier thématique, mettant en lumière le rayonnement de la culture ivoirienne sur ses ondes.

Africa Smart réalise spécifiquement l’accompagnement stratégique pour la préparation du dossier, en interagissant avec les différents interlocuteurs pour valider les angles rédactionnels de l’équipe ARICA RADIO Abidjan et assurer le suivi du dossier jusqu’à terminaison.

Africa Open Innovation Summit : des enjeux de la Souveraineté Numérique

La Souveraineté Numérique au cœur de AOIS 2021

La notion de souveraineté numérique, récente, est aujourd’hui définie comme « la maîtrise du présent et du destin national tels qu’ils se manifestent et s’orientent par l’usage des technologies et des réseaux informatiques ».

Dans un monde en mutation permanente, où les technologies favorisent les échanges globaux entre territoires et populations, Internet a facilité des équilibres nouveaux. Aussi, la souveraineté numérique vient en complément de définition à la souveraineté territoriale. La virtualisation des frontières, l’aspect universel des utilisateurs, la permissivité des échanges seraient autant d’aspects transgressifs des lois nationales. Le législateur se doit donc de définir des textes et encadrer les principes qui régissent l’utilisation des technologies de communication en général, de l’Internet en particulier.

Pourquoi être souverain ?

L’Internet est vecteur de croissance et de productivité. Grâce à lui, les industries bénéficient d’une capacité de résonance sans limite à travers le réseau.

Le rôle de l’État dans l’accompagnement de ses industries nationales en est plus encore renforcé.

Chaque État, pour garantir sa souveraineté numérique, s’inscrira dans un système matriciel englobant culture, réglementation et environnement favorable au développement d’un écosystème échangeant et coopérant.

Le ccTLD au cœur de souveraineté numérique

Les outils de souveraineté numérique en deviennent alors multiples ; qu’il s’agisse de taxation d’entreprises étrangères, de politique de développement économique favorable à la création d’entreprises numériques innovantes ou encore de protocoles spécifiques de gestion des données personnelles, les États disposent de leviers variés pour faire prévaloir leur souveraineté. 

Une des problématiques phare se loge au cœur de la question de l’appropriation des noms de domaines de premier niveau correspondant au code pays (ccTLD)qui constituent une ressource vitale de l’écosystème Internet national. Le développement de cette ressource critique de l’Internet a été négligé dans la plupart des pays francophones du Sud. 

Cette faible appropriation s’observe plus particulièrement dans les pays francophones d’Afrique, à telle enseigne que dans plusieurs pays, le nombre de sites avec une extension de nom de domaine national dépasse rarement 5000. Certains pays francophones compteraient moins de 200 abonnés.

Or, le caractère stratégique des noms de domaine nationaux constitue la vitrine du pays, de sa culture, de son patrimoine, de son économie et de ses populations, soit l’extension virtuelle du territoire national. Il devient alors urgent de prendre des mesures ou dispositions pour faire des noms de domaines nationaux un instrument au service de la souveraineté numérique

Conception @AfricaSmart

Processer

Collaborer

Organiser

Intermédier

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
Africa Smart, partenaire stratégique du Africa Open Innovation Summit 2021

Africa Smart au Comité scientifique de AOIS

L’ère de la transformation digitale, des milléniaux et de l’instantanéité induit de nombreux changements pour les Etats comme les Entreprises.

Ces bouleversements leur ont demandent de repenser leur organisation, leur métier mais également leurs produits face à la complexité des nouveaux besoins des consommateurs.

Si, à une certaine époque, les entreprises vivaient dans des mondes d’innovations fermés, elles ont désormais besoin de faire appel à des acteurs externes à leur environnement pour innover. Le développement d’Internet a induit de nouveaux modes de collaboration.

Le travail à distance prend progressivement ses marques, se renforce et se développe avec des outils collaboratifs avancés, accélérant ainsi la
transformation numérique des organisations et embrassant le chemin de la « cloudification » massive.

Dès lors, se pose la question de la souveraineté numérique des Etats. 

La pression importante imposée par les GAFAM – NATU et autres géants de l’Internet, qui ont la main mise aussi bien sur les technologies, les applicatifs devenus d’usage planétaire, que sur les mines de données induites, l’accélération vertigineuse de la transformation digitale qui tend à réduire les barrières de tous ordres, l’importance des disparités numériques entre les Etats, mettant certains pays en position de faiblesse, suscitent de profondes réflexions quant à cette souveraineté numérique.

  • Est-elle possible et envisageable pour les Etats africains en particulier ? A quel prix ?
  • Sur quels leviers agir pour la bâtir ?

Africa Open Innovation Summit lance les bases de la réflexion en ces termes : « Développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des standards ouverts »

Conception @AfricaSmart

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Pourquoi les standards ouverts ?

Les Standards Ouverts permettent d’exercer sa liberté en usage de données, avec une fidélité irréprochable. Ils empêchent le verrouillage et autres entraves artificielles à l’interopérabilité, promeuvent le choix entre différents fournisseurs ou solutions technologiques.

Si les standards et les codes sources ouverts offrent autant de bénéfices, ils se présentent alors comme l’eldorado technologique qui favorise à coup sûr la sereine appropriation des technologies, la créativité et l’innovation, et par ricochet, la construction du tissu industriel du numérique. 

Ils n’ont jamais été aussi présents et mis en avant par les géants de la Tech, précurseurs des environnements Cloud bâtis sur des briques open source.

Le Cloud est aujourd’hui l’infrastructure clé de la transformation digitale, de la révolution numérique. 

Orienter sa stratégie vers l’appropriation du Cloud et de l’Open Source revêt une réelle opportunité de développement du tissu industriel du numérique et inéluctablement de construction de la souveraineté numérique.

Au sein du Comité Scientifique, Africa Smart a réalisé les travaux préliminaires en vue de l’établissement d’un agenda pertinent, embrassant l’ensemble des problématiques propres aux décideurs ; Ictina est à la base du projet.

Les sujets proposés à AOIS 2021 balayent les enjeux suivants :

  • Cloud & Sécurité du Cyberespace
  • Données numériques
  • Réglementation & souveraineté numérique
  • Industrie logicielle Open Source
  • Tiers lieux & Innovation Ouverte
  • gTLD et ccTLD
  • Open Data, Open Innovation, Open Content, …
  • Innovation, technologies de ruptures & Fintech
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